ECHOS RADARS:
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ECHOS RADARS:
LA MATERIALITE DES OVNIS PROUVEE PAR MESURES PHYSIQUES :
Contester la matérialité des objets volants non identifiés, prouve une méconnaissance totale des principes de fonctionnement des systèmes radars.
Détecter et enregistrer un ovni n’est pas un problème de détection des mesures physiques, c’est uniquement un problème d’identification de l’engin observé.
LES SYSTEMES RADARS DE SURVEILLANCE DU TERRITOIRE :
Classification des systèmes radars actuels :
I- Antenne radar primaire :
Un radar primaire émet des signaux hyperfréquences qui sont réfléchis par les cibles. Les échos ainsi crées sont reçus et étudiés. Contrairement à un radar secondaire, un radar primaire reçoit la partie réfléchie de son propre signal.
II- Antenne radar secondaire :
Avec ces radars, l'avion doit être équipé d'un transpondeur (transmetteur répondeur) qui répond à l'interrogation du radar en générant un signal codé. Cette réponse peut contenir beaucoup plus d'informations que celles qu'un radar primaire peut collecter (par exemple l'altitude, un code d'identification, ou encore un rapport de problème à bord comme une panne totale des radiocommunications).
Nota : La navigation aérienne est donc volontairement limitée aux transpondeurs afin d’organiser et de simplifier la circulation d’aéronefs identifiés. Les échos non identifiés restant donc à la charge des radars primaires de la Défense aérienne du territoire.
Les radars à impulsions émettent des impulsions de signal hyperfréquence à forte puissance. Chaque impulsion est suivie d'un temps de silence plus long que l'impulsion elle-même, temps durant lequel les échos de cette impulsion peuvent être reçus avant qu'une nouvelle impulsion ne soit émise. Direction, distance et parfois, si cela est nécessaire, hauteur ou altitude de la cible, peuvent être déterminées à partir des mesures de la position de l'antenne et du temps de propagation de l'impulsion émise.
Les radars à onde continue génèrent un signal hyperfréquence continu. Le signal réfléchi est reçu et traité, mais le récepteur (qui dispose de sa propre antenne) n'est pas tenu d'être au même emplacement que l'émetteur. Tout émetteur de station radio civile peut être simultanément utilisé comme un émetteur radar, pour peu qu'un récepteur relié à distance puisse comparer les temps de propagation du signal direct et du signal réfléchi. Des essais ont montré que la localisation d'un avion était possible par la comparaison et le traitement des signaux provenant de trois différentes stations émettrices de télévision.
Le signal émis par ces équipements est constant en amplitude et en fréquence. Spécialisés dans la mesure des vitesses, les radars à onde continue ne permettent pas de mesurer les distances. Ils sont employés par exemple par la gendarmerie pour les contrôles de vitesse sur les routes (cinémomètres radars). Des équipements plus récents (LIDAR) fonctionnent dans la bande de fréquence des lasers et permettent d'autres mesures que celle de la vitesse.
Le signal émis est constant en amplitude mais modulé en fréquence. Cette modulation rend à nouveau possible le principe de la mesure du temps de propagation. Un autre avantage non négligeable de ce type d'équipement est que, la réception n'étant jamais interrompue, les mesures s'effectuent en permanence. Ces radars sont utilisés lorsque les distances à mesurer ne sont pas trop grandes et qu'il est nécessaire d'effectuer des mesures ininterrompues (par exemple une mesure d'altitude pour un avion ou un profil de vents par un radar météorologique).
Un radar imageur permet de présenter une image de l'objet (ou de la zone) observé. Les radars imageurs sont utilisés pour cartographier la Terre, les autres planètes, les astéroïdes et les autres objets célestes. Ils offrent par contre aux systèmes militaires, une capacité de classification des cibles.
Des exemples typiques de radar non imageur sont les cinémomètres radars (les petits, sur le bord de la route...) et les radios altimètres. Ce type de radar est également appelé « diffusomètre » puisqu'il mesure les propriétés de réflexion de la région ou de l'objet observé. (Les applications des radars secondaires non imageurs sont par exemple les dispositifs d'immobilisation antivols installés sur certains véhicules privés récents).
En fonction des informations qu'ils doivent fournir, les équipements radars utilisent des qualités et des technologies différentes. Ceci se traduit par une première classification des systèmes radars:
Radars imageurs / Radars non imageurs
Un radar imageur permet de présenter une image de l'objet (ou de la zone) observé. Les radars imageurs sont utilisés pour cartographier la Terre, les autres planètes, les astéroïdes et les autres objets célestes. Ils offrent aux systèmes militaires une capacité de classification des cibles.
Des exemples typiques de radar non imageur sont les cinémomètres radars (les petits, sur le bord de la route...) et les radios altimètres. Ce type de radar est également appelé diffusomètre puisqu'il mesure les propriétés de réflexion de la région ou de l'objet observé. Les applications des radars secondaires non imageurs sont par exemple les dispositifs d'immobilisation antivols installés sur certains véhicules privés récents.
LES PLASMA :
Etude de l’ONERA sur l'interaction d'une onde électromagnétique avec un plasma d'air à température ambiante.
Un radar émet un faisceau d'ondes électromagnétiques concentré dans une direction et qui se propage dans l'atmosphère à la vitesse de la lumière. Lorsque ces ondes rencontrent un aéronef, une partie du signal est réfléchie par la cible. Le signal réfléchi, après avoir été reçu sur l'antenne du radar, est traité pour permettre la détection de l'aéronef. Le radar permet à son utilisateur de lui fournir des informations tels que l'existence d'un corps étranger dans l'atmosphère, sa position, sa vitesse, la nature du corps détecté, etc. De manière à accroître la furtivité vis à vis des radars, il est nécessaire de réduire au minimum l'écho radar des aéronefs. L'objectif de la furtivité est donc de diminuer la Surface Equivalente Radar ou Section Efficace Radar (SER exprimée en m2 et donnée par le rapport entre l'énergie ré-émise et la densité d'énergie reçue par unité de surface) qui caractérise la capacité de la cible à rayonner l'énergie électromagnétique vers le radar.
Pour la réduire et rendre les cibles indétectables par le radar, l'Office National d'Etudes et de Recherches Aérospatiales (O.n.e.r.a.) mène des recherches dans différentes voies dont celle du plasma qui a pour but d'absorber les ondes électromagnétiques. Le plasma, décrit par sa permittivité, peut être absorbant sous des conditions particulières, il lui faut une permittivité réelle proche de 1 et une permittivité imaginaire la plus importante possible. L'idée est d'entourer complètement l'aéronef d'un plasma absorbant mais l'énergie nécessaire pour engendrer un tel plasma semble trop importante. Il s'agit alors de réduire ou d'éliminer tous les points de l'avion qui le rendent détectable. L'une des parties de l'avion très sensible aux ondes radar sont les entrées d'air qui constituent des "points brillants" dans la SER. Il faut savoir qu'un avion est tout d'abord optimisé pour ses performances en vol et non pour sa furtivité. Plusieurs méthodes sont proposées pour essayer de masquer les entrées d'air. Mais le plasma a l'avantage de dissocier l'aspect aérodynamique et l'aspect de furtivité.
FURTIVITE DES AERONEFS.
L'objectif de ces travaux est la recherche d'une solution alternative par absorption des ondes radar en utilisant un minimum d'énergie pour créer un plasma à l'intérieur des entrées d'air d'aéronefs dans l'air à la pression atmosphérique et à la température ambiante (TPN).
CHAMPS MAGNETIQUES :
En physique, le champ magnétique (ou induction magnétique, ou densité de flux magnétique) est une grandeur caractérisée par la donnée d'une intensité et d'une direction, définie en tout point de l'espace, et déterminée par la position et l'orientation d'aimants, d'électroaimants et le déplacement de charges électriques.
La présence de ce champ se traduit par l'existence d'une force agissant sur les charges électriques en mouvement (dite force de Lorentz), et divers effets affectant certains matériaux (paramagnétisme, diamagnétisme ou ferromagnétisme selon les cas). La grandeur qui détermine l'interaction entre un matériau et un champ magnétique est la susceptibilité magnétique.
Le champ magnétique forme, avec le champ électrique les deux composantes du champ électromagnétique décrit par l'électromagnétisme. Des ondes de champs électrique et magnétique mêlées peuvent se propager librement dans l'espace, et dans la plupart des matériaux. Ces ondes sont appelées ondes électromagnétiques, et correspondent à toutes les manifestations de la lumière, dans tous les domaines de longueur d'onde (ondes radio, domaine micro-onde, infrarouge, domaine visible, ultraviolet, rayons X et rayons gamma). La discipline qui étudie les champs magnétiques statiques (ne dépendant pas du temps) est la magnétostatique.
Les puissants champs magnétiques détectés lors de passages d’objet volants non identifiés, confirment le principe de sustentation employé par ces engins. (Cas du RB-47.)
LA FURTIVITE.
Lorsque l’on étudie la furtivité des aéronefs actuels, l’on est obligé d’observer les différentes méthodes pour tenter de les rendre invisibles aux ondes radar. Entre les ondes réfléchies par une surface et les ondes diffractées dans de multiples directions par les arêtes ou bords d’aile d’un engin, l’on comprendra qu’il est alors possible éclairer un radar.
Les études menées sur la furtivité ne sont donc valables que pour des radars dits « monostatiques ». (Dont l’émetteur et le récepteur se trouvent au même endroit.)
La recherche pour détecter un engin furtif oblige donc à concevoir des radars dits « bistatiques. (Dont l’émetteur et le récepteur sont situés sur deux sites différents.)
La réalisation encore plus avancée de radars « multistatiques » (Dont plusieurs récepteurs sont installés sur des véhicules) est donc d’actualité.
L’on peut donc concevoir également des centres d’observations composés uniquement de récepteurs qui capteront toutes ondes émises par diverses sources dans l’environnement. Partant du principe que les ondes émises rebondiront sur tout avion volant dans les zones d’observations, il suffira alors d’analyser pour détecter et ainsi identifier tout aéronef de conception furtive.
LA FURTIVITE COMPROMISE.
Il est un élément incontournable que peu d’observateurs prennent en compte. La propulsion d’un aéronef furtif dégage automatiquement un rayonnement infra-rouges. De ce fait, les grandes puissances ont satellisé plusieurs appareils spécialisés dans la détection de ce rayonnement.
Donc, si un aéronef furtif pénètre sur un territoire donné, il sera immédiatement détecté. Le cas du B-2 américain échappant aux radars statiques est donc actuellement détectables par sont système de propulsion.
EN CONCLUSION :
La matérialité des objets volants non identifiés est prouvée par les mesures physiques enregistrées. De ce fait incontestable, il ne faut pas oublier qu’un plasma absorbant les ondes radar, il ne peut renvoyer les ondes émises. Ce qui permet de mieux comprendre les recherches actuelles sur la furtivité des aéronefs terrestres.
De plus, si un ovni observé, n’était en réalité qu’une boule de plasma, les radars primaires des systèmes de défenses ne pourraient le détecter et l’enregistrer. Les enregistrements radars nous prouvent donc la « matérialité » de ces ovnis.
Il n'est donc de bons "ovnis", que des "ovnis" détectés et enregistrés par radars primaires. Contester cette évidence, démontre un véritable manque de culture et de connaissances en mesures physiques. L'on observera donc une volonté affichée de ne pas se documenter sur le principe.
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A+JP.
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