DES SIGNES DANS LE CIEL.(1615).
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DES SIGNES DANS LE CIEL.(1615).
Des signes dans le ciel de Sedan au XVIIe siècle
Par Guy Tarade et Christophe Villa-Mélé
Signes épouvantables dans le ciel de Sedan – synthèse rédigée et simplifiée à partir des documents écrits en vieux Français
A Sedan, le huit Novembre 1615, à vingt trois heures, d’étranges illuminations furent observées dans le ciel : l’une d’entre elles avait la forme d’une très grande lance de couleur rouge feu : L’autre, était plus lumineuse et avait la forme d’un petit Balai.
Le garde qui était de sentinelle ce soir là, fut également témoin de ce singulier spectacle nocturne dans le ciel. Il en fut tellement horrifié qu’il en abandonna son poste dans la peur.
L'homme était tellement choqué que son cri alerta toute la communauté villageoise car cette dernière croyait qu’une menace extérieure venait pour l’attaquer.
Les hommes ce rendirent à l’arsenal défensif du château pour se munir de leurs armes tandis que les femmes allumaient des feux un peu partout afin de chasser les épouvantables lueurs qu’il y avait dans le ciel...
Affolés, les capitaines de la garde couraient et s’afféraient sur les remparts du château, pour essayer de discerner quelques mouvements de troupes ennemies.
Ils ne distinguèrent et ne perçurent aucuns bruits dans les environs extérieurs au château.
Les villageois étaient tellement terrorisés par les deux étranges lueurs qui évoluaient dans le ciel de Sedan, que le gouverneur du château fit appeler ses capitaines sur le champ afin de leur demander qu’elles fussent les raisons de ce tapage dans l’enceinte du village.
Les Sieurs de Chaumarests et de Rochecourbe, lui relatèrent le phénomène qui se déroulait dans le ciel. Le gouverneur demeura très dubitatif sur les singuliers propos tenus par ses capitaines…
Tout à coup les capitaines furent surpris par un bruit venant de l’extérieur,
comparable à celui d’une une fusée festive projetée en l’air.
Soudainement, le regard des militaires fut attiré vers le ciel et ils en virent descendre « un être de flammes », avec une grande chevelure. Il tenait une très grande « lance ardente » comme s’il s’agissait d’un flambeau.
Une demi-heure plus tard, deux autres créatures de flammes descendirent du ciel.
Elles étaient solidement vêtus sur de grandes montures elles aussi, ardentes.
Les courageux capitaines engagèrent un combat sans merci contre ces êtres de flammes.
La bataille fut longue et laborieuse mais les créatures furent mises hors d’état de nuire.
Cependant un des êtres qui fut terrassé eu la main tranchée par un des capitaines et l’arme « une épée flamboyante » tomba avec sa main dans la rivière de la Meuse.
Les villageois imploraient la miséricorde du seigneur et ils fermèrent les portes du village…
Mais, La nuit suivante fut encore plus effroyable que la précédente.
Toujours vers les vingt trois heures : la population entendit une sorte de vrombissement identique à celui que ferait un torrent qui s’abat du haut d’un précipice. Ce vrombissement était également combiné à des sortes de rugissements de lion, de mugissements de taureaux ainsi que d’ hennissements de chevaux et de cris humains…
Ce qui campa les villageois dans leur effroyable terreur. Vers Minuit, une tornade s’abattit sur le village et le château. Détruisant sur son passage de nombreuses habitations.
A une heure du matin la tornade s’atténua mais non l’émoi du peuple et une demi-heure après le bruit d’un chariot allant à vive allure retentit dans le village. Alertés par le bruit, les gens se mirent aux fenêtres et ils y virent un bien curieux spectacle il s’agissait : d’un chariot tracté par trois animaux, similaires à de grands éléphants blancs qui avaient des yeux énormes et protubérants. Le char était de couleur rouge feu il avait la forme d’un bac à lessive dans laquelle se trouvait le conducteur. « Une créature » semblable à un homme mais de grande taille : Il avait la tête deux fois plus grosse, sa figure était de couleur jaune safran, il pavait un gros nez épaté. Sa bouche se trouvait sur sa poitrine extrêmement velue. Il n’avait pas de barbe et il n’avait qu’un œil au milieu du front…
La créature émies des cris épouvantables et fit trois le tour des grandes rues du village. En croisant la garnison du château, il les menaçât, celle-ci prit peur et se sauva. Puis la créature arriva jusqu’à la grande place du marché, elle s’y arrêta et entonna un cri si strident et si terrifiant qu’il terrorisa la ville tout entière…
Au petit matin, les villageois purent constater qu’il ne restait plus sur la place du marché, qu’un grand monceau de cendres à l’emplacement ou la créature s’était arrêté. Ses restes furent jetés dans la Meuse…
Sedan, ne vit plus jamais ces étranges phénomènes et retrouva sa tranquillité.
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A+JP.
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