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MASSE JOVIENNE DANS LE NUAGE DE OORT

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Message  lionel Ven 21 Mai - 12:12

Bonjour

je poste ce sujet dans la partie astronomie, puisqu'il s'agit d'une etude scientifique publiée officiellement sur les observations du nuage de Oort: ( en anglais avec le lien du document en pdf publié sur Arxiv )

http://xxx.lanl.gov/abs/1004.4584v1]http://xxx.lanl.gov/abs/1004.4584v1]http://xxx.lanl.gov/abs/1004.4584v1

Cette etude et ses conclusions pour le moins surprenantes ( que seul WISE pourra prouver ) ... les points noirs des ouvrages de Sitchin et Velikovsky apparaissent comme moins farfelus ( la planete X a valu les foudres de la communauté scientifique a l'endroit de Sitchin ).

oubliée la planète X et Nibiru ... trop gogoesque et grotesque .... mais NEMESIS semble faire beaucoup d'emules. Cela me laisse perplexe.

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.astrobio.net/exclusive/3427/getting-wise-about-nemesis&ei=MHT2S5ruGY-L_Abrz_DMCg&sa=X&oi=translate&ct=result&resnum=5&ved=0CCsQ7gEwBA&prev=/search%3Fq%3Dsecret%2Bsur%2Bles%2Bobservations%2Bde%2BWISE%26hl%3Dfr

je sais que l'on touche a une forme de sujet qui prête trop aux "delires apocalyptiques" mais je dois avouer que si des etudes de ce type qui ont passé la lecture d'examinateurs scientifiques, leur donnant droit a publication officielle .... devons nous nous mefier de la science ??? ou bien chercher dans son sens sur ce genre de sujet ??? ... j'aurais tendance a être partisan de la 2 ème solution. Pourquoi me direz vous ? et bien tout simplement que nos faibles connaissances en cosmologie voir même inexistantes ( désolé M Hawkins ) ne nous autorise en aucun cas a botter en touche l'existante probable d'une black dwarf (naine brune de 1.4 masse jovienne ) en orbite dans le nuage de Oort

Vos avis !!!

amicalement
Lionel


PS: a suivre aussi de près les derniers rapports scientifiques concernant Jupiter elle même ( etude des impactages de juillet 94 et juillet 2009 entre autre )

lionel

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Message  Mantell Mar 25 Mai - 8:00

flower


Merci Lionel! Very Happy


Un petit plus sur Futura-Science:

Des chercheurs de l'Université du Pays basque viennent de publier aux côtés d'une équipe américaine la première étude concernant un impact survenu sur Jupiter l'année dernière.

Le 20 juillet 2009, 15 ans exactement après la chute de la comète Shoemaker-Levy 9 sur Jupiter, l'astronome amateur australien Anthony Wesley annonçait qu'il venait d'observer une tache sombre sur Jupiter, résultat probable d'un nouvel impact. Immédiatement de grands télescopes terrestres étaient mobilisés comme le télescope de 1 mètre de diamètre de l'Observatoire du Pic du Midi. On faisait également appel au télescope spatial Hubble, alors en pleine phase de calibrage de ses nouveaux instruments amenés deux mois plus tôt au cours de la mission STS-125, dernière visite de maintenance pour cet instrument. Les astronomes ne manquaient pas de pointer également leurs instruments, comme par exemple Marc Delcroix, auteur de la planche en bas de cet article.

Les images obtenues montrèrent que le nuage sombre observé dans le domaine visible était brillant en infrarouge. L'impact d'un astéroïde ou d'une comète n'avait pu être suivi en direct car il s'était produit du côté opposé à la Terre mais il avait laissé sa signature. On observait un échauffement intense de la troposphère de Jupiter, accompagné d'une remontée de molécules d'ammoniac des profondeurs de la géante gazeuse. Cette cicatrice avait disparu au bout de quelques semaines.

Une équipe du Groupe des Sciences Planétaires de l'Université du Pays basque dirigée par le professeur Agustín Sánchez Lavega vient de publier dans la revue Astrophysical Journal Letter une première analyse de ce phénomène, un travail partagé avec des chercheurs du Space Telescope Science Institute de Baltimore.

L'impact d'un astéroïde sur Jupiter en juillet 2009 photographié par le télescope Gemini North installé à Hawaï. Crédit Gemini Observatory

Le coupable serait un astéroïde

L'analyse détaillée des observations réalisées avec le télescope spatial Hubble permet de comparer l'impact de 1994 et celui de 2009. La couleur des débris présents dans les marques sombres laissées par les impacts sont identiques dans les deux cas, ce qui confirme qu'il s'agit bien de la matière profonde de Jupiter remontée en surface et modifiée par la chaleur des impacts. L'observation de la morphologie des impacts et de leur durée de vie sur Jupiter suggère que les corps qui en sont à l'origine seraient plutôt des astéroïdes que des comètes.

Dans le cas de l'impact de 2009, les chercheurs pensent qu'un « gros caillou » d'environ 500 mètres de diamètre pourrait faire l'affaire. L'impact mesurait environ 5.000 kilomètres, un panache de matériaux qui s'élevait dans l'atmosphère de Jupiter avec une pluie de particules qui retombaient tout autour. Ce nuage a été peu à peu dispersé par les vents assez lents qui circulent dans les hautes latitudes de la planète gazeuse, un phénomène qui n'est pas sans rappeler ce qu'on observe actuellement avec le panache de cendres du volcan islandais Eyjafjöll.

Deux impacts de cette ampleur en 15 ans, voilà qui fait beaucoup. On estimait dans le passé qu'un tel événement devait se produire tous les 50 à 250 ans. Désormais les chercheurs doivent envisager ce scénario selon une fréquence plus élevée, sans doute tous les 10 à 15 ans. Reste à espérer que la massive Jupiter continuera à capturer tous les gros astéroïdes qui s'aventureront dans le Système solaire. On n'ose imaginer les résultats dévastateurs qu'aurait une telle rencontre avec la Terre...

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Message  Mantell Dim 6 Juin - 7:24

flower

Sur Futura-Science...

Deux astronomes amateurs ont eu la surprise d'assister à un nouvel impact de comète ou d'astéroïde sur la planète Jupiter dans la nuit du 3 au 4 juin.

Ils n'en reviennent toujours pas : l'Australien Anthony Wesley et le Philippin Christopher Go, des astronomes amateurs spécialisés dans l'observation planétaire, ont pu observer fortuitement avec leur télescope le flash lumineux provoqué par l'entrée d'un corps céleste dans l'atmosphère de Jupiter.

La planète géante gazeuse vient donc une nouvelle fois d'attirer à elle un astéroïde ou une comète, comme elle l'avait fait par le passé avec la comète Shoemaker-Levy en 1994, et plus récemment en 2009 avec un astéroïde d'environ 500 mètres de diamètre. Cet impact, qui avait d'ailleurs déjà été révélé par Wesley, vient de faire l'objet d'une première étude détaillée.

Les astronomes se mobilisent maintenant pour essayer de repérer d'éventuelles traces sombres dans l'atmosphère gazeuse de Jupiter. Les précédents impacts se sont en effet soldés par des cicatrices foncées observables plusieurs semaines, provoquées par l'échauffement de la troposphère de la planète et la remontée de molécules d'ammoniac.

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Message  Mantell Dim 6 Juin - 22:16

flower

Oui, la vie sur Mars serait possible
Des chercheurs du Département des sciences des ressources naturelles de l'Université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche),...) McGill à Montréal (Montréal est à la fois région administrative et métropole du Québec[2]. Cette grande agglomération canadienne constitue...), du Conseil national de recherches du Canada, de l’Université de Toronto et de l’Institut SETI ont découvert que des bactéries (Les bactéries (Bacteria) sont des organismes vivants unicellulaires procaryotes, caractérisées par une absence de noyau...) dévoreuses de méthane (Le méthane (R50) est un hydrocarbure de la famille des alcanes.) peuvent survivre dans une source d’eau unique en son genre située sur l’Île Axel Heiberg, dans le Haut-Arctique canadien. Le professeur Lyle Whyte, microbiologiste à McGill, explique que la source de Lost Hammer est comparable à celles qui peuvent exister ou qui ont existé sur Mars, et qu’elle abrite une flore microbienne laissant penser que cela pourrait également le cas de sources comparables présentes à la surface (Il existe de nombreuses acceptions au mot surface, parfois objet géométrique, parfois frontière physique, souvent...) de la Planète (Selon la dernière définition de l'Union astronomique internationale (UAI), « une planète est un corps céleste (a)...) rouge (La couleur rouge répond à différentes définitions, selon le système chromatique dont on fait usage.).


Malgré les très basses températures ambiantes, l’eau de cette source extrêmement froide est tellement salée qu’elle ne gèle pas. De plus, l’on n’y trouve aucun oxygène consommable. Les chercheurs ont toutefois observé de grosses bulles de méthane à sa surface, ce qui les a amenés à se demander si ce gaz provenait d’une source géochimique ou d’organismes vivants, et si la vie était possible dans ce milieu à la fois très froid et très salin. "Nous avons eu la surprise de constater l’absence totale de bactéries méthanogènes produisant du méthane dans la source de Lost Hammer", explique le professeur Whyte. "Par contre, nous y avons découvert d’autres organismes anaérobies absolument uniques, c’est?à?dire des organismes qui survivent essentiellement en consommant du méthane et en inhalant du sulfate plutôt que de l’oxygène."

Récemment, l’on a découvert la présence de méthane et de glace sur Mars. Les photos prises par la sonde Mars Orbiter (Orbiter est un simulateur de vol spatial réaliste, diffusé sous forme de graticiel (mais non open source), pour le...) révèlent en effet l’existence de nouveaux ruisselets, sans que personne ne puisse expliquer leur formation. L’une des réponses possibles serait qu’il existe des sources comme celle de Lost Hammer sur Mars. "Peu importe en définitive de savoir d’où provient ce méthane", explique le professeur Whyte. "En présence d’eau salée très froide, il est tout à fait possible d’imaginer l’existence d’une communauté microbienne, malgré l’extrême rigueur du milieu ambiant." Si l’Île Axel Heiberg est un lieu particulièrement inhospitalier, la source de Lost Hammer l’est bien davantage. "Il existe des endroits sur Mars où la température (La température d'un système est une fonction croissante du degré d'agitation thermique des particules, c'est-à-dire de...) atteint des niveaux que l’on pourrait presque qualifier de tempérés, c’est?à?dire des températures comprises entre ?10 et 0°C, voire supérieures à 0 degré", explique Lyle Whyte, "mais sur l’Île Axel Heiberg, la température peut facilement descendre en deçà de -50°C. La source de Lost Hammer est le milieu salin le plus froid que nous ayons découvert. Cet habitat peut aussi servir de modèle pour élucider la formation des suintements de méthane observés dans des milieux glacés comme ceux qui caractérisent la planète Mars, et pourrait par conséquent expliquer l’origine des panaches de méthane découverts récemment sur Mars."

Publiés dans l’International Society for Microbial Ecology Journal, ces travaux de recherche (La recherche scientifique désigne en premier lieu l’ensemble des actions entreprises en vue de produire et de...) ont bénéficié de l’aide logistique (La logistique est une activité de services qui a pour objet de gérer les flux de matières en mettant à disposition et...) de la Station de recherche arctique (L’Arctique est la région entourant le pôle Nord de la Terre, à l’intérieur et aux abords du cercle polaire....) de l’Université McGill et du Programme du plateau continental polaire. Cette recherche a été subventionnée par la NASA (La National Aeronautics and Space Administration (« Administration nationale de l'aéronautique et de...), le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada et l’Agence spatiale canadienne. Les recherches menées par les étudiants ont bénéficié de subventions supplémentaires du ministère des Affaires indiennes et du Nord et du Fonds québécois de la recherche sur la nature et les technologies.

Source: Université McGill.


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