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LETTRE OUVERTE AUX SCEPTIQUES.

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Message  Mantell Ven 21 Mai - 22:13

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LETTRE OUVERTE DE J.J.VELASCO.
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Le SEPRA:


Un certain nombre d'observations d'OVNI qui ont fait l'objet d'enquêtes approfondies demeurent inexpliquées. En faisant la part des choses sur ce dossier complexe, Jean-Jacques Velasco, directeur du SEPRA, s'interroge: Pourquoi les sciences dites "exactes" ne veulent-elles pas s'intéresser à ce dossier, et pourquoi des recherches entamées dans les années 70_80 ont-elles été interrompues?
L'article suivant est paru dans le n°29 de la revue "Sciences Frontières". Merci à Philippe Huleux pour le post. Son site TRIANGLE.




LETTRE OUVERTE AUX SCEPTIQUES:
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De Jean-Jacques VELASCO





Un certain nombre d'observations d'OVNI qui ont fait l'objet d'enquêtes approfondies demeurent inexpliquées. En faisant la part des choses sur ce dossier complexe, Jean-Jacques Velasco, directeur du SEPRA, s'interroge: Pourquoi les sciences dites "exactes" ne veulent-elles pas s'intéresser à ce dossier, et pourquoi des recherches entamées dans les années 70_80 ont-elles été interrompues?

Pourra-t-on un jour faire la lumière sur la question des phénomènes aérospatiaux non identifiés, les OVNI, en s'affranchissant de l'éternel débat sur la croyance? Pour éviter cela après une période riche en événements, alimentée par la polémique autour de l'affaire de Roswell, je souhaite au travers de cet article apporter une contribution à ce débat à partir d'une rencontre sur cette question qui remonte à plus de 20 années, et à partir de mon expérience professionnelle au sein d'un organisme d'études et de recherche dans le domaine du spatial, le CNES. On a beaucoup discouru sur les OVNI, beaucoup trop sans doute pour que quiconque, à la simple évocation de ce terme ne réagisse et ne pense immédiatement aux extra-terrestres ou aux fantasmes et autres délires collectifs. Il me semble opportun, alors que les polémiques se sont apaisées, de m'adresser à ceux qui ont l'esprit ouvert, qui curieux par nature, souhaitent être informés objectivement, sans a priori, sur ce sujet trop souvent emprunt de controverses. Cette démarche qui se veut rationnelle et pragmatique, ne répondra sans doute pas à toutes les interrogations, ni à toutes les attentes, elle aura cependant le mérite d'aborder la question des OVNI sous l'unique angle de l'analyse des faits. J'invite le lecteur à ce parcours et comme le disait si justement K. Popper, un philosophe des sciences, "il n'y a pas de sujets indignes en sciences, il n'y a que les méthodes qui le sont."

"Cette relation intime avec le ciel a joué un rôle fondamental dans les débats philosophiques et de société en instituant des croyances comme mode de pensée et règles communes." Le domaine des cieux a toujours fasciné par sa dimension et son mystère, l'esprit et la curiosité humaine. Si la question des OVNI évoque une relation avec le ciel et plus globalement avec l'espace, c'est probablement que quelque part ce lien existe, et qu'il nous faut à défaut de le comprendre tenter de le rechercher. Cette référence au ciel revient sans cesse, y compris dans le passé ou de nombreux textes mentionnent l'observation de phénomènes plus étranges et mystérieux les uns que les autres. Déjà la référence au ciel est permanente dans la Bible au travers de l'Ancien et du Nouveau Testament, puis à l'époque gallo romaine avec celle des boucliers ardents qui effrayaient les centurions, ou bien encore avec les prodiges célestes du Moyen-Age. Au cours des siècles, cette relation intime avec le ciel a joué un rôle fondamental dans les débats philosophiques et de société en instituant des croyances comme mode pensée et règles communes. Si le génie des Galilée, Copernic, Kepler et autre Newton, ne nous avaient pas éclairé l'esprit, en situant la terre et l'humanité dans sa véritable dimension et relation avec l'univers, nous en serions encore à admettre l'ordre des choses selon les dogmes en cours. Il n'y a pas si longtemps que cela, à la fin du siècle dernier, beaucoup d'astronomes de l'époque parmi les plus éminents, Flammarion, Percival Lowel ou Schiaparrelli, affirmaient qu'il y avait de la vie sur la planète Mars. Des canaux artificiels y avaient été observés, et une cartographie dressée prouvait que des êtres l'habitaient!

Personne ne doutait de cela et toute une littérature populaire, écrite par les meilleurs écrivains de l'époque, Jules Vernes ou H.G. Wells, enflammait les esprits par des récits sur Sélénes et autres Martiens. Il fallut cependant attendre le milieu du 20ème siècle, avec les sondes martiennes viking en 1974 et 1975, pour constater que malheureusement, la planète Mars ne recelait aucune vie en surface et encore moins la présence de Martiens. Certains pensent qu'aujourd'hui, avec les moyens techniques de surveillance du ciel et de l'espace à notre disposition, télescopes optiques terrestres, radars, et plus récemment avec de véritables observatoires en orbite comme le télescope Hubble, il ne devrait plus y avoir beaucoup de place pour des phénomènes mystérieux ou inconnus. Partant de là, il sera plus aisé de faire taire les bruits et rumeurs propagés sur la présence d'objets insolites évoluant dans le ciel, avec tous les mythes qui s'y rattachent. Malgré cela, les chiffres et de nombreux documents officiels l'attestent, il y a toujours des gens, y compris des professionnels aguerris comme les pilotes, qui observent et rapportent des observations sur des lueurs curieuses ou la présence d'objets bizarres dans le ciel, et cela s'est même, semble-t-il, accéléré depuis la période post seconde guerre mondiale !

C'est en effet en 1947 que le public a pris connaissance des premières observations modernes d'OVNI rapportées par des observateurs qualifiés, plus précisément celle d'un pilote civil, K. Arnold, qui le premier décrivit l'évolution d'étranges aéronefs volant en formation au-dessus du mont Rainier dans le ciel du Nord Ouest des Etats-Unis. Cinquante années après, avec le recul du temps, on peut légitimement s'interroger comme le sociologue P. Lagrange sur le fait de savoir si cette "vague" d'observation n'était pas liée à une période particulière de l'histoire, celle de la guerre froide. A moins que, pour des raisons stratégiques et intérieures, le gouvernement américain de l'époque n'ait "inventé" les "soucoupes volantes" pour créer et entretenir un climat de psychose parmi les populations. Pour les autorités, ces histoires de "soucoupes volantes" ne pouvaient être que le fait d'envahisseurs venus de l'Est ou celles d'illuminés comme Adamski. A vrai dire, il était très difficile de se faire une opinion, car les faits rapportés ne reposaient souvent sur des récits et des témoignages visuels, et malheureusement ne s'appuyaient que trop rarement sur des données fiables et objectives, photographies, enregistrement radars, etc., qu'il n'était pas possible d'interpréter correctement. Quelques années plus tard, quand les "soucoupes volantes" se sont transformées en UFO, sont apparues jour des théories selon lesquelles les apparitions d'OVNI ne pouvaient être que le fruit de l'imagination, d'hallucinations collectives, ou de rêves éveillés dont la lecture des fanzines ou autres récits de science - fiction étaient la source.

Aujourd'hui le phénomène OVNI est devenu aux USA un véritable phénomène de société, prenant une telle ampleur, qu'il ne se passe pas une semaine sans que l'actualité ne s'en empare et n'évoque les aspects les plus ahurissants et spectaculaires du thème. Un enthousiasme que les cinéastes d'Hollywood ont particulièrement mis à profit ces derniers temps avec des productions comme "Independance Day", "Mars Attack", ou "Men in black" qui mettent en scène, dans toutes les situations, les rapports entre les extraterrestres et les humains. On entend parler de contacts et d'enlèvements (les "abductees") un peu partout, et il est même question dans des cas extrêmes de prélèvements biologiques par des entités extraterrestres. Dans le même ordre d'idées, nous avons eu droit durant le passage de la comète Hale Bopp, à une secte qui profita de l'occasion pour réaliser un suicide collectif et trouver le refuge éternel dans la queue de la comète ! Les journaliste, les cinéastes, les publicitaires, les philosophes, les hommes politiques, usent et abusent de ce thème en permanence, mais assez curieusement les scientifiques, plus spécialement ceux des sciences "exactes", en sont absents.

On peut supposer la question sur une telle absence? Ne serait - ce pas que ce sujet soit par trop sulfureux et polémique et en permanence pollué par une exploitation mercantile et tapageuse? Le directeur de la revue "La Recherche", dans une émission sur les OVNI en mars 1996, ne refléta-t-il pas ainsi l'opinion du milieu scientifique en affirmant que le sujet des OVNI ne être qu'un aimable divertissement de salon, et non une question touchant au domaine scientifique ..." De même on peut constater que le débat d'opinion a été confisqué aux Etats-Unis, par les autorités politiques et militaires, en se réfugiant derrière des considérations sécuritaires, cette attitude faisant croire que ces manifestations représentaient un danger pour les populations. Se réfugier ainsi derrière le secret d'état permettait aussi de jeter le discrédit sur les personnes qui voulaient le faire émerger. Ceci a eu pour conséquence de retirer au citoyen le droit d'être informé, créant ainsi un climat de méfiance, voire dans certains cas de paranoïa, qui s'est emparé de groupes d'enthousiastes qui voyaient partout s'installer une conspiration du silence dés qu'il était fait mention des OVNI par une autorité gouvernementale quelconque. Pour sortir de cette impasse, ne faut-il pas prendre un peu de recul, revenir vers plus de raison et un peu moins de passion en se tournant vers les sciences "exactes"? Il serait temps de se poser les vraies questions, en premier lieu savoir si ces fameux phénomènes répondent véritablement aux critères d'une étude scientifique. Les OVNI dépasseraient alors le stade du simple débat idéologique et sociologique pour rentrer enfin dans celui du domaine scientifique. L'histoire des sciences nous montre que cela est possible avec la découverte de l'origine des météorites. Avant 1806, aucune autorité scientifique n'admettait que des pierres puissent avoir pour origine le ciel! Il fallut une enquête, diligentée par l'Académie des Sciences, à l'Aigle, petite localité du département de l'Orne, pour que l'on admette qu'il y avait réellement des pierres qui tombaient du ciel. Pourquoi n'en serait-il pas de même aujourd'hui quelques deux siècles après avec les OVNI, sachant qu'avec les méthodes et les moyens techniques et instrumentaux à notre disposition, nous pourrions rapidement vérifier si ces phénomènes existent réellement. Quels passionnant et intéressant défi pour la recherche et la connaissance, mais les scientifiques seraient-ils prêts à le relever?

Il serait faux de dire que les OVNI n'ont jamais fait l'objet d'études scientifiques sérieuses. Des milliers de travaux dans le monde entier l'attestent, qui sont bien souvent l'oeuvre de chercheurs ou de savants isolés, et qui ont donné lieu à des publications de bon niveau dans de nombreux domaines touchant aux disciplines les plus diverses comme: la propulsion, l'énergie, la psychologie humaine, la physique théorique, etc.

Malheureusement ces travaux, dont certains de grande qualité, n'ont pas eu le mérite et la chance d'êtres publiés dans des revues scientifiques de prestige, ce qui en réduit considérablement la portée. Quelques états ont entrepris très officiellement, généralement sous le couvert des forces armées, une étude du problème, à commencer par les Etats-Unis en 1969. Une commission d'étude scientifique, à l'initiative de l'armée de l'air, fut créée sous la direction du professeur E. Condon, un physicien, et qui durant trois années se pencha sur le sujet. Ce sont les informations recueillies, pendant prés de 30 années par l'armée de l'air; dans le cadre du 'livre bleu" qui servirent de base à ce comité. La commission dans ses conclusions "ne trouve pas d'intérêt à engager un programme de recherches scientifiques soutenu dans la durée", et cet avis négatif, tel un couperet, clôtura définitivement et officiellement, dans ce pays, le dossier.

Quelques scientifiques cependant voulurent relever le défi et poursuivre cette tâche à titre privé ou personnel. Certains d'entre eux comme le professeur A. Hyneck, un astronome qui fut conseiller de l'USAF pendant plus de vingt ans, remettait publiquement en cause les conclusions de cette commission et milita jusqu'à sa mort, en 1986, pour jeter les premières bases sérieuses d'une étude scientifique du phénomène OVNI. Son apport et grand mérite, à partir d'un fichier de données constitué de plusieurs milliers de cas d'observations, complété par toute une série d'enquêtes sur le terrain, fut de montrer que la matérialité physique de certains phénomènes n'était pas en concordance avec des manifestations naturelles ou artificielles connues.

Malheureusement, la communauté scientifique ne reprit pas à son compte ses travaux qui tombèrent dans l'oubli. Néanmoins un peu plus tard, d'autres chercheurs, des ingénieurs, physiciens pour la plupart, tels que J.M. Mc Campbell aux Etats-Unis, le professeur A. Messeen en Belgique ou C. Poher, J. Vallée ou J.P. Petit en France, ont poursuivi dans cette voie et contribué à porter le sujet sur le terrain scientifique. Malgré cela, l'étude du phénomène OVNI en a été réduite à la marginalité, d'autant que les prises de position de certains d'entre eux n'incitaient guère cette même communauté scientifique à prendre le problème au sérieux. Pendant ce temps, les observations continuaient d'êtres signalées à travers le monde...

C'est en partie pour sortir de cette situation, qu'en France en 1974, une institution, l'IHEDN, décidait d'examiner ce dossier. A la suite de son rapport, le gouvernement demandait au CNES de mettre en place une cellule d'étude permanente du phénomène OVNI. Le GEPAN était créé en mai 1977 et commençait ses premiers travaux sous la férule de Claude Poher, ingénieur en aéronautique et spatial, qui était à cette époque chef de la "division fusée sonde". Ni commission d'enquête, ni office gouvernemental civil ou militaire, le GEPAN sous les directives d'un conseil scientifique indépendant, reçut pour mission d'examiner et apporter le maximum de réponses sur cette épineuse question des OVNI.

Les premières étapes du travail du GEPAN ont consisté à définir le domaine d'étude, élaborer une méthodologie scientifique et mettre en place les procédures et outils d'intervention pour les équipes d'enquête. Dans le même temps, le GEPAN établissait des collaborations avec la gendarmerie nationale, la police, l'armée de l'air et l'aviation civile pour collecter et traiter l'information. Disposant des archives et des premières données recueillies par ce canal, un travail statistique a permis d'élaborer une classification et une typologie des phénomènes étudiés. Ces travaux ont confirmé les résultats du capitaine Ruppelt, directeur de l'ATIC au sein de l'USAF, datant de 1952,ainsi que ceux du professeur A. Hyneck sur la particularité et la composante physique de certaines manifestations. Ces constatations ont par ailleurs été vérifiées par l'examen d'un certain nombre de cas anciens qui révélaient toute une catégorie de phénomènes dont la nature et les caractéristiques physiques, ne semblaient pas être assimilables avec des événements connus ou identifiables. Au vu de ces premiers résultats, le conseil scientifique demandait au GEPAN de concentrer son action sur des enquêtes et des cas récents. En outre, il lui était assigné d'entreprendre des recherches plus fondamentales, conduites dans des laboratoires civils ou militaires, pour mieux cerner certains aspects liés à ces manifestations dans des domaines tels que la psychologie de la perception pour l'analyse des témoignages, ou l'évaluation de l'influence des processus de diffusion de l'information dans et par les médias, mais aussi d'approfondir des catégories particulières de phénomènes météorologiques tels que la foudre en boule, et engager des études plus spécifiques sur les modélisations en physique comme celle de la propulsion magnétohydrodynamique, etc..; En 1988 le GEPAN était transformé en SEPRA, car le CNES et le conseil scientifique tout en souhaitant la poursuite de ses activités de collecte de données et d'expertise, arrêtaient celles liées aux études et recherches plus fondamentales qui ne répondaient pas à la vocation de l'établissement. Curieusement durant cette période, peu d'événements se produisirent, les rares phénomènes d'ampleur correspondaient la plupart du temps à des rentrées atmosphériques, à des bolides comme les météorites ou bien aux objets satellisés artificiels, corps de fusées, satellites, ces exemples s'inscrivant tout à fait dans l'activité d'expertise du CNES en matière de surveillance de l'espace et des débris spatiaux. De spectaculaires cas allaient par ailleurs parfaitement justifier le choix de cette transformation.

Ce qui s'est passé dans la soirée du 05 novembre 1990 restera sans doute à tout jamais gravé dans la mémoire de ceux ayant assisté à cet insolite et mystérieux événement. Pour les uns ce fut un immense triangle lumineux et silencieux qui traversa durant 2 minutes le ciel de France d'Ouest et Est, pour d'autres un drôle d'avion qui survola la capital ! Bref ce sont des milliers d'observateurs qui restèrent ébahis par cet étrange spectacle. Ce sont plus de 250 procès verbaux de gendarmerie et de police, représentant plusieurs centaines de témoignages ainsi que de nombreux rapports de pilotes civils et militaires en vol, qui attestèrent de la réalité de cet événement. L'enquête immédiatement déclenchée nous permit quelques heures après, grâce au recoupement effectué entre les témoignages et les données reçues de la part de la NASA, de déterminer avec précision qu'il s'agissait, sans aucune équivoque, de la rentrée dans l'atmosphère d'un corps de fusée qui avait placé sur orbite quelques temps auparavant un satellite de télécommunication soviétique GORIZON 21.

Je voudrais dénoncer ici une erreur de jugement, qui me semble fondamentale, et que commettent la plupart des commentateurs, celle-ci consistant à proposer comme unique réponse sur la nature des OVNI, que ceux-ci ne sont que le fruit de l'imagination des témoins. Cette approche trop réductrice n'a été ni écartée, ni privilégiée dans l'analyse du problème, mais considérée comme hypothèse de travail et examinée avec les méthodes et outils développés par des scientifiques en analyse des témoignages. C'est pourquoi on ne peut pas admettre qu'il n'y ait qu'une réponse à la question sur les OVNI aux seuls arguments reposant sur des considérations de nature sociologiques ou psychosociologiques. Si les thèmes véhiculés dans la célèbre série télévisée culte X Files, qui apparaît régulièrement sur nos petits écrans, étaient aussi influents et déterminants que le prétendent les socio - psychologues et les folkloristes, nous devrions être en permanence inondés de témoignages. En fait il apparaît au vu des quelques trois mille dossiers et rapports de gendarmerie de PAN examinés au GEPAN, puis au SEPRA, qu'aucun cas ne s'inscrit dans ce schéma théorique. De même qu'entre le phénomène OVNI et la parapsychologie, nous n'avons trouvé aucun lien ni quelconque rapport. De ce fait je ne peux que déplorer l'amalgame et la confusion qui associe généralement à la catégorie des phénomènes paranormaux et parapsychologiques le phénomène OVNI, faisant par ailleurs le régal des marchands d'illusions et de rêves auprès des esprits trop crédules.

La seule façon de montrer clairement et véritablement à quoi peuvent ressembler les phénomènes OVNI, c'est de présenter des cas remarquables investigués par le GEPAN et le SEPRA n'ayant pas après analyse reçu de réponse sur leur identification. Deux affaires dans des registres très différents l'illustrent clairement. La première décrit ce que l'on appelle un cas de rencontre rapprochée et la seconde un cas aéronautique visuel/radar. Elles correspondent toutes les deux à la présence d'objets physiques, dont les caractéristiques et paramètres ont été mesurés et enregistrés par un instrument, soit directement soit en fonction des "effets indirects" qu'ils ont générés sur l'environnement. Trans en Provence, le 8 février 1981 vers 17 heures un homme qui construit un petit abri pour une pompe à eau, dans son jardin, va être témoin de ce qui est peut-être un des cas les plus insolites jamais observés et étudiés en France. C'est un reflet du soleil sur quelque chose qui évoluait dans le ciel qui va attirer son regard et lui permettre d'observer la descente, puis l'atterrissage brutal, sur un terre-plein situé en contrebas de sa maison, d'un objet métallique silencieux. Celui-ci de forme ovoïde, ne présentait aucune aspérité apparente, aile, gouverne ou moteur permettant de l'assimiler à un quelconque aéronef. Cet objet restera quelques brefs instants sur la plate-forme, toujours en n'émettant aucun bruit, puis il décollera et disparaîtra à une vitesse très élevée dans le ciel bleu azur. Ce récit somme toute assez banal pourrait ne s'arrêter qu'à cette simple constatation visuelle, s'il n'y avait eu des traces et des empreintes mécaniques visibles qui feront basculer cette affaire dans le domaine de l'inconnu et de l'inexpliqué. La gendarmerie puis le GEPAN réaliseront une enquête approfondie au cours de laquelle de nombreux entretiens avec le témoin, son voisinage, puis la mise en oeuvre des procédures d'expertise sur le terrain avec des prélèvements d'échantillons de terre et de végétaux, suivies d'analyses montreront sans équivoque qu'il s'agissait réellement d'un objet métallique pesant, non identifié, qui s'était posé sur la terrasse. C'est l'analyse des végétaux prélevés sur le site qui indiquera que nous n'étions pas en présence d'un type d'aéronef y compris hélicoptère ou drône militaire connu, hypothèses envisagées et vérifiées. La végétation présente sur le site d'atterrissage, une forme de luzerne sauvage, a été profondément marquée et affectée par un agent extérieur qui a modifié en profondeur l'appareil photosynthétique de la plante. En effet les chlorophylles, mais aussi certains acides aminés de la plante présentaient des variations de taux importantes en relation avec la distance. Deux années après, ces mêmes effets disparurent complètement révélant ainsi un type spécifique et particulier de traumatisme.

Selon le professeur M. Bounias, du laboratoire d'écologie et de toxicologie végétale de l'INRA, qui effectuera les analyses, la cause des profondes perturbations enregistrées sur la végétation présente sur cet écosystème, pourrait vraisemblablement être due à un puissant champ électromagnétique, plus précisément situé dans la gamme des fréquences (micro-ondes). A ce jour, des études et des recherches se poursuivent toujours sur cette affaire où de nombreuses pistes ont été explorées. Aucune d'entre elles n'a pu satisfaire à l'ensemble des conditions qui nous permettrait d'identifier avec certitude l'objet qui s'est posé à Trans en Provence le 08 février 1981 et encore moins d'en déterminer l'origine.

Beaucoup de gens pensent qu'il y a sans doute très peu de cas d'observation d'OVNI dans le monde qui puissent justifier l'intérêt des autorités pour envisager une étude permanente ou mettre en place tout simplement une surveillance systématique du ciel. En consultant les archives et la documentation existante officielle et privée, nous nous apercevons du contraire: il y a une abondance de manifestations insolites qui se déroulent dans le ciel dont ont été témoins en observateurs attentifs les pilotes civils et militaires seuls ou en formation, comme celle de K. Arnorld en 1947, jusqu'à celles décrivant des évolutions bien plus complexes avec des effets constatés sur les avions et parfois au sol; interférences et brouillages radio ou radars, perturbations dans les instruments de navigation, voire dans certains cas des manifestations physiques ou physiologiques constatées sur les membres d'équipage (chaleur, aveuglement etc..)

L'analyse de des cas montre ainsi, à l'échelon mondial depuis 1942, date des premiers témoignages aéronautiques que sur les quelques centaines de cas reconnus et authentifiés par les autorités, comme ceux du rapport du livre bleu recensés par l'armée de l'air américaine entre 1947 et 1968, pour 20% d'entre eux, l'observation visuelle était le fait de plusieurs observateurs à bord, et corroboré par radar au sol ou et à bord.

En ce qui concerne la France, il a été porté à notre connaissance par les autorités civiles et militaires une dizaine de cas anciens aéronautiques d'OVNI, c'est-à-dire répondant aux critères de non-identification après investigation des autorités concernées. Depuis la création du GEPAN, et la mise en place de procédures systématiques du recueil des témoignages, 40 fiches aériennes ont été transmises par l'aviation civile. Parmi ces phénomènes, seuls 3 ou 4 d'entre eux peuvent être considérés comme appartenant à la catégorie des phénomènes non identifiés après vérification et enquête simultanée des autorités civiles et militaires.

Enfin un seul cas radar/visuel expertisé peut être véritablement reconnu comme OVNI. C'est ce type de cas qui va nous servir de deuxième exemple pour montrer l'évidence et la réalité physique des phénomènes OVNI. Ces cas ont d'autant plus de valeur que les acteurs, les pilotes et membres d'équipage, apportent toutes garanties dans leur témoignage tant par leurs compétences que par leurs connaissances du milieu aérospatial. ils assurent des responsabilités importantes lorsqu'ils transportent des passagers, ou assurent la sécurité de la nation aux commandes des avions de chasse. Ceci leur confère, par conséquent, un degré élevé de crédibilité.

Verticale de Paris, 28 janvier 1994, le vol Nice Londres 3532 d'Air France effectue un trajet sans problème à une altitude de croisière de 11200 mètres. Le steward présent dans la cabine alerte le copilote et le commandant de bord qu'il y a un drôle de "ballon" droit devant l'appareil ! Il est 13 heures 12 minutes et le "ballon" en question se situe à 25 miles nautiques (à peu prés 40 kilomètres) de l'avion, un peu au-dessus d'une épaisse couche d'alto cumulus à environ 10000 mètres d'altitude. L'avion poursuit sa route, maintient son cap, et se rapproche du "ballon" qui ne modifiera à aucun moment sa trajectoire et disparaîtra sur la gauche de l'appareil quelques instants après d'une manière étrange. L'équipage constatera en effet que les contours de l'objet deviendront progressivement flous et qu'il disparaîtra pratiquement sur place. Le contrôle aérien demandera à l'équipage, comme il est de règle, de faire une déposition auprès des autorités aéronautiques civiles et militaires. Cette observation pourrait paraître anodine et banale si les éléments de trajectoire et descrïptifs du phénomène avaient permis d'établir son identification, mais ce ne sera pas le cas. Les vérifications effectuées auprès du contrôle de la navigation aérienne civile et militaire ne nous permettra pas de retenir la présence d'un ballon météorologique ou celle d'avions civils ou militaires, prototype furtif compris, mais bien celui d'un objet physiquement inconnu. C'est l'étrangeté de la forme, lenticulaire de couleur rouge sombre, sans détails apparents, aile, gouverne ou moteurs et surtout sa dimension qui semblait énorme - estimée à 1000 mètres! - mais qui après calcul et vérification des positions et des diamètres apparents sera ramenée entre 250 et 300 mètres, qui troubleront le plus l'équipage.

L'intérêt de ce cas est renforcé par le fait que simultanément à l'observation visuelle, les radars de surveillance aérienne ont enregistré certains paramètres de l'évolution de cet objet, en particulier la vitesse qui était constante et inférieure a 200km/h, ce qui pouvait rendre incompatible la présence d'un aéronef classique de cette taille et de cette forme. La disparition de l'objet sera constatée simultanément par l'équipage ainsi que sur les écrans radar et demeurera un mystère. Au stade actuel des investigations menées auprès des différents organismes civils et militaires impliqués, il apparaît qu'il y a bien eu observation et détection radar simultanées d'un objet physique non identifié évoluant durant 50 secondes au-dessus de la région parisienne Ce cas est jusqu'à présent unique en son genre en France. il permet de montrer que la chaîne d'acquisition d'information et de traitement des données a parfaitement fonctionné pour fournir des éléments qui permettent de montrer la réalité et l'existence d'objets physiques de nature encore inconnue dans notre ciel. Ce cas pourrait ne jamais se reproduire, mais à la différence d'un certains nombres d'affaires d'OVNI antérieures recensées dans le monde, celle-ci est récente et reconnue par les autorités civiles et militaires de notre pays.

Les plus sceptiques de nos rationalistes peuvent faire remarquer qu'un seul cas ne signifie pas grand chose au regard des critères d'analyse scientifique. Cependant, comme les cas d'observation rapprochée tel celui de Trans en Provence, ils viennent s'ajouter à de très nombreux autres aux quatre coins du monde. Quelqu'un a dit "l'absence de preuve ne signifie pas la preuve de l'absence." En tout cas, à partir de ces exemples, on ne pourra plus dire en ce qui concerne les OVNI qu'il ne s'agit que de rumeurs, d'hallucinations ou d'invention. Il serait temps de ne plus négliger l'intérêt d'étudier ces phénomènes. Dans le passé, des exemples d'événements singuliers, parfois de faits uniques, ont ouvert des horizons insoupçonnés qui bouleversèrent nos sociétés. L'involontaire expérimentation de Becquerel, qui laissa une nuit au fond d'un tiroir un morceau de pechblende (minerai contenant de 'uranium) sur une plaque photographique, en est la démonstration évidente. La suite montra que cette innocente erreur permit d'accéder à l'ère atomique !

Au début de cet article, je positionnais le débat sur la question des OVNI au niveau de l'évidence du phénomène par la preuve, la preuve physique bien entendu puisque les scientifiques ne veulent entendre parler que d'elle. Pour cela, l'exigence intellectuelle passe par l'examen objectif de faits qui ne peuvent êtres attestés et vérifiés que par la mesure instrumentale et répétitive dans le temps. Cependant le fait de s'arrêter au simple stade du constat et des enquêtes est insuffisant, même si celles-ci sont menées avec rigueur et méthode. De même il apparaît que si le phénomène OVNI présente un caractère agressif ou dangereux pour les populations, cela ne peut être que dans les esprits, et uniquement de nature sociologique ou spirituelle. Pour ma part, il me paraît important de poursuivre et amplifier le travail entrepris en France sur ce sujet. Cela passe par l'amélioration des moyens de collecte de données, en particulier des instruments de mesure optiques et radar de surveillance de l'espace et l'engagement de véritables programmes de recherche pluridisciplinaires civiles et militaires. En effet, si le phénomène OVNI est physique, et il semble que ce soit le cas, qu'il se reproduise dans le temps et que son caractère universel soit démontré, il y aura alors nécessité pour l'appréhender avec efficacité, de mettre en place une collecte systématique d'informations, en l'élargissant, dans un premier temps, à l'échelle de l'Europe et pourquoi pas, à celle de la planète toute entière. AU stade de l’analyse et des interprétations proposées, il est sans doute encore trop tôt pour affirmer quoi que ce soit ; cependant des scientifiques qui émettent des hypothèses et suggèrent des interprétations sur les OVNI pourraient trouver des éléments de réponse dans le travail déjà effectué en France. Par exemple les études et les recherches qui ont déjà été engagées dans le domaine des modélisations en magnétohydrodynamique, pourraient êtres poursuivies et amplifiées. Pour cela, seule une coopération pluridisciplinaire scientifique et surtout la volonté d'agir permettront de créer les conditions nécessaires pour percer la nature de ces mystérieux phénomènes OVNI. enfin dans une ultime étape, nous accéderons peut-être à leur véritable nature et, pourquoi pas, un jour découvrir leur origine que d'aucuns placent du côté des étoiles.

Copyright Jean-Jacques VELASCO.


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Message  Mantell Dim 19 Déc - 17:43

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(Richard H. Hall) La Science des OVNIS: les faits contre le scepticisme

Ufologue renommé Richard Hall demande aux scientifiques de lire cette étude et les références qui l'accompagnent.

"Certaines des plus grandes découvertes... consistent principalement en l'élimination des barrages psychologiques qui obstruent la route de l'approche de la réalité."

Arthur Koestler dans "The Sleepwalkers."

Les stéréotypes ont du mal à mourir. Le mythe qui court parmi les scientifiques selon lequel les OVNIS sont un problème qui n'a aucun sens et aucune substance a été fermement établi il y a plus de 50 ans et persiste jusqu'à ce jour.

Parmi les idées fausses profondément enracinées chez les scientifiques il y a:

* Les OVNIS ne sont rien de plus que de vagues lumières épisodiquement vues la nuit,
* Aucun Observateur qualifié ou expérimenté n'a jamais rapporté d'OVNI vraiment embarrassant,
* Les OVNIS sont des objets ou des phénomènes prosaïques qui sont convertis en vaisseaux spatiaux par des "croyants,"
* Un désir de croire quasi religieux crée le phénomène OVNI de toute pièce, et
* Rien de substantiel n'a été signalée que la science pourrait étudier même si elle le voulait.

On peut démontrer de façon concluante que toutes ces idées sont fausses. Elles sont des "barrages psychologiques" que nous devons dégager afin que la route vers la découverte des OVNIS puisse enfin être empruntée. Les cas utilisées comme exemples dans ce rapport sont choisis en partie pour réfuter ces stéréotypes et en partie pour montrer les aspects récurrents et les détails des observations, avec une considération particulière pour les nombreux domaines de recherches scientifiques potentielles qui seraient possibles si les OVNIS étaient acceptés comme un vrai phénomène et si des financements étaient disponibles.

En contradiction totale avec les stéréotypes régnants, si les témoins dans les cas comme ces exemples pourraient être cités pour témoigner sous serment dans un but d'investigation et de recherche de faits, ces cas offrent des possibilités intéressantes d'établir au delà du doute raisonnable non seulement que les OVNIS sont "vrais," mais également qu'ils ont, avec une probabilité élevée, une signification extraordinaire pour la science et l'espèce humaine. Le témoignages humains forts établissent clairement que les OVNIS structurés décrits ici sont un produit d'une technologie, pas un phénomène naturel. La seule question restante est: à qui est cette technologie?

OBJETS STRUCTURES SEMBLABLES A DES ENGINS ET EFFETS TANGIBLES:

Les mêmes issues scientifiques ont surgi pendant le Projet OVNIS de l'université du Colorado (le "Comité Condon") en 1966-1969, auprès duquel l'auteur fut un conseiller. Le Comité a décidé que les "prétendus objets solides" (par opposition aux sources ponctuelles ou aux boules de lumière) doivent être le centre de l'attention. Ces rapports ont les meilleurs témoins et sont les plus détaillés - et en effet, semblables à des engins - d'objets pleins, structurés, géométriques concentrent ce qui est susceptible d'être vrai dans le phénomène OVNI.

De la même façon, l'étude des effets réels rapportés au sujet des OVNIS (par exemple, des effets sur l'environnement, des effets électromagnétiques, des cas de traces physiques, des effets physiologiques) devraient jeter la lumière sur la nature du phénomène. Un autre domaine de recherches potentiellement important sont les indications possibles de la physique et de la technologie des OVNIS qui sont généralement présentes dans les rapports.

La grande majorité des OVNIS vu clairement en plein jour ou quand la nuit est claire sont décrits comme elliptiques, ovales, discoïdes, en forme de cigare, ou avec un dôme. En langue mathématique, ce sont ce qu'on appelle des "solides de révolution." Notez les exemples de forme, d'effets réels, et d'autres indicateurs de technologie dans les cas suivants.
1er Mai 1952; Davis-Monthan AFB, Arizona; 09:10 a.m.

Témoins: Major Rudy Pestalozzi, un officier du renseignement, et un aviateur.

Caractéristiques: Disques, vol coordonné, vol accompagnant un avion.

Deux disques brillants ont rattrapé un bombardier B-52 et ont volé avec lui bord à bord, l'un près du fuselage. L'équipage du bombardier s'est rassemblé dans la verrière de droite à l'arrière de l'aile et a regardé vers le bas avec un léger angle pour voir le disque le plus proche, qui était en forme de lentille ou de double disque et avait environ 20 à 25 pieds de diamètre. Après environ 20 secondes, les objets ont filé vers le lointain en faisant un virage brutal. Le commandant de vol, stupéfié par l'expérience, a fait un atterrissage non programmé à la base et l'équipage a été interrogé longuement par le Major Pestalozzi, qui s'est avéré justement être l'officier de la base chargé des OVNIS. (Hynek, 1977, pp 109-112, 292-294; dossiers McDonalds, bibliothèque de l'Université de l'Arizona; Projet Blue Book, archives nationales.)
13 Août 1960; Red Bluff, Californie; 23:50.

Témoins: L'Officier de police Charles A. Carson, l'Officier de police Stanley Scott, de la Patrouille des Autoroutes de Californie; Les adjoints du shérif du comté de Tehama; les radars de l'Armée de l'Air.

Caractéristiques: ellipse, avec des lumières, un rayon de lumière rouge balayant la terre, manoeuvres extraordinaires, contact radar, effets électromagnétiques sur la radio.

Les officiers Carson et Scott qui étaient en patrouille ont observé un grand objet bas dans le ciel directement en avant d'eux qu'ils ont d'abord pensé être un avion qui allait s'écraser. Ils se sont arrêtés et ont sauté de leur véhicule de patrouille pour avoir une idée de sa position, mais ils n'ont entendu aucun bruit. Quand l'objet s'est arrêté à une position à environ 100 ou 200 au dessus de la terre, il a brutalement renversé sa direction et est remonté rapidement à environ 500 pieds et s'est arrêté. Les officiers ont vu sa forme clairement disctincte dans les lueurs environnantes. C'était une ellipse argentée avec les lumières rouges à chaque extrémité. Entre les deux lumières rouges environ cinq lumières blanches apparaissaient de temps en temps le long du centre de l'objet. "Pendant que nous observions, l'objet s'est déplacé encore et a exécuté les exploits aériens qui étaient réellement incroyables," a écrit Carson dans son rapport officiel de l'incident.

"A ce moment nous avons contacté le bureau du shérif du comté de Tehama par radio pour demander qu'ils entrent en contact avec la station locale de radar," continue Carson. "La station de radar a confirmé l'OVNI - complètement non identifié. "

Ils ont observé l'objet venir vers eux par deux fois en tournant et en balayant le secteur avec un énorme faisceau de lumière rouge. Chaque fois qu'il s'est approché, ils ont constaté des interférences sur leur radio. "L'officier Scott a tourné le phare rouge de la voiture de patrouille vers l'objet, et il est immédiatement allé au loin," rapporte Carson. [Dans de nombreux cas similaires, les OVNIS ont montré une "réaction d'étonnement" identique celle qu'à obtenu la police en les visant avec leur phare.]

L'objet a allumé son faisceau de lumière rouge environ 6 ou 7 fois, balayant le ciel aussi bien que la terre, et a alors commencé à s'écarter vers l'Est. Carson et Scott ont commencé à le suivre. Un deuxième objet semblable a rejoint le premier, et finalement les deux objets ont disparu au-dessus de l'horizon Ouest.

Les officiers ont parlé avec les adjoints Fry et Montgomery du comté de Tehama, et au gardien de nuit, lesquels ont tous vu la même chose qu'eux. L'observation a duré plus de deux heures. (Hall, 1964, p. 61-62)
24 Avril 1964; Socorro, Nouveau Mexique; 17:45.

Témoins: Lonnie Zamora, officier de police de Socorro; le Shérif adjoint James Luckie; le Sergent Sam Chavez, de la Police d'État du Nouveau Mexique.

Caractéristiques: ellipse, petits êtres, trace de pieds d'atterrissage au sol, dommage sur la végétation.

Attiré par ce qui était apparemment une explosion, Zamora a quitté l'autoroute pour prendre un chemin peu carrossable pour aller se rendre compte. Un objet blanc était visible, il a d'abord pensé que ce pourrait être une voiture accidentée, ainsi il a rapporté à sa centrale qu'il allait quitter sa voiture "pour vérifié cette voiture au bas de l'arroyo." Deux petites figures étaient debout près de la chose.

Alors qu'il sortait de sa voiture il a entendu deux ou trois "coups forts," comme quelqu'un martelant ou claquant une porte. Un des êtres s'est tourné et l'a regardé. Ils ont alors disparu dans l'engin et il a décollé avec un hurlement et une forte émission de flammes. Craignant une explosion, Zamora est retourné s'abriter, est trébuché et est tombé. L'objet s'est élevé directement vers le haut, et une fois qu'il eut quitté le sol le bruit fort s'est arrêté. L'objet, une ellipse blanchâtre avec un symbole rouge sur son flanc, a volé vers le loin horizontalement. Puis il s'est élevé graduellement jusqu'à ce qu'il ait disparu dans la distance au-dessus des montagnes, disparaissant derrière la montagne de Six Milles Canyon.

Quand Zamora a appelé pour rapporter l'incident, la centrale a dirigé le Sergent M.S. Chavez de la Police d'Etat vers l'emplacement en renfort. Zamora et Chavez ont noté que la végétation brûlait à plusieurs endroits et Chavez a repéré les "traces."

Le Shérif adjoint James Luckie de Socorro est arrivé quelques minutes après Chavez, et il a également confirmé les marques et la végétation encore fumante. Clairement visibles dans le sol sablonneux, il y avait quatre marques carrée disposées en un ensemble trapézoïdal. Quatre zones brûlées étaient visibles, trois d'entre elles à l'intérieur des marques. Plusieurs marques petites, peu profondes, circulaires, ont également été trouvées; celles-ci sont notées comme étant des "empreintes de pas" dans le dossier sue ce cas de l'Armée de l'Air.

Un scientifique de service de la Santé Publique a analysé un échantillon du sable fondu trouvé à l'emplacement. Les résultats de cette analyse sont absent dans le dossier officiel. (le dossier de ce cas par l'Armée de l'Air contient seulement une analyse qualitative d'échantillon de sol datée du 19 mai 1964 qui identifie "les éléments principaux" mais ne donne aucun pourcentage.)

Le 25 Avril, le Capitaine Richard T. Holder, commandant d'armée d'Up-Range à White Sands Proving Grounds, avec un agent du FBI, D. Arthur Byrnes, Jr., du bureau d'Albuquerque, est arrivé pour étudier et prendre des mesures à l'emplacement. (Holder, 1964; FBI, 1964)

Le Major William Connor de Kirtland AFB et le Sergent David Moody, qui était dans le secteur en TDY, ont étudié le case pour le projet Blue Book de l'Armée de l'Air le 26 Avril 26. (Connor, 1964) Le Dr. J. Allen Hynek a conduit en personne une recherche de suivi le 15 août 15 1964, trouvant des références fortement favorables en ce qui concerne le caractère de Zamora. (Hynek, 1964)

Écrivant dans une étude secrète de la CIA deux ans après, le Major Hector Quintanilla, chef de projet Blue Book de l'Armée de l'Air à l'époque de l'observation, a rapporté que le cas de Socorro est resté "embarassant." Avec l'aide de nombreuses autres agences, il avait conduit un contrôle approfondi des activités militaires pour trouver une explication. Il n'en a trouvé aucune.

"Il n'y a aucun doute," a-t-il rapporté, "que Lonnie Zamora a vu un objet qui lui a laissé une forte impression. Il n'y a également aucune question au sujet du sérieux de Zamora. Il est un officier de police sérieux, un pilier de son institution, et un puits de science en ce qui concerne l'identification des aéronefs dans son secteur. Il est embarassé par ce qu'il a vu, et franchement, nous le sommes tous. C'est le cas le mieux documenté dans nos dossiers, et nous ne sommes toujours par arrivé, malgré la recherche approfondie, à trouver le véhicule ou tout autre stimulus qui ont effrayé Zamora au point de la panique." (Quintanilla, 1966)
5 Mars 1967; Minot AFB, Dakota du Nord; heure non rapportée:

Témoins: Police de sécurité de l'Armée de l'Air et autre personnel de la base.

Caractéristiques: disque, observation visuelle et radar, lumières clignotantes sur le corps de l'engin, accélérations et vol stationnaire.

Le radar du centre de contrôle de la défense aérienne a dépisté une cible non identifiée descendant au-dessus des silos de missile Minuteman de la quatre-vingt-onzième escadrille de missiles stratégiques. Les équipes de sécurité de la base ont vu un objet métallique et en forme de disque bagué avec des lumières clignotantes lumineuses se déplaçant lentement, manoeuvrant, puis s'arrêtant et planant à environ 500 pieds au-dessus du sol. Après un moment l'objet est passé directement au-dessus du service de commande des lancements. Les jets F-106 furent envoyés pour interception. A ce moment l'OVNI "s'est élevé tout droit vers le haut et a filé au loin à une vitesse incroyable." (Fowler, 1981, p. 187)
18 Octobre 1973; Mansfield, Ohio; 23:00.

Témoins: Le Capitaine Laurent J. Coyne et l'équipage d'un hélicoptère de réserve de l'armée UH-1H; des témoins au sol localisés séparément.

Caractéristiques: objet métallique en forme de cigare avec un dôme, corps lumineux, faisceau lumineux, semble-t-il une force de levage, effets électromagnétiques.

L'hélicoptère volait à vitesse normale de 90 noeuds à une altitude de 2.500 pieds au-dessus du niveau de la mer, au-dessus des bois et des champs, en route de Columbus vers Cleveland dans une nuit claire et étoilée. Une lumière rouge a été observée sur l'horizon Ouest, elle semblait suivre l'hélicoptère. A peu près une minute plus tard un des membres d'équipage a averti le capitaine que la lumière semblait se diriger sur l'hélicoptère. Le Capitaine Coyne a pris les commandes du copilote et a commencé une descente, entrant en même temps en contact avec le contrôle d'approche de Mansfield pour demander des informations sur le trafic aérien de jets possible; il savait qu'il y avait de F-100 basés à Mansfield. Avant que Mansfield ne puisse répondre, la communication par radio a été brouillée.

Pendant ce temps la lumière rouge a augmenté en intensité et a semblé être sur un cours de collision à vitesse très élevé, ainsi Coyne a accéléré sa descente et s'est laissé tomber à environ 1.700 pieds. Avec les arbres montant rapidement et l'objet inconnu arrivant droit sur eux, les membres de l'équipage se sont attachés pour l'impact. Juste quand la collision semblait imminente, la lumière s'est soudainement arrêtée et a entrepris de rester stationnaire au-dessus et devant l'hélicoptère.

L'objet semblait solide, éclipsant les étoiles derrière lui. Il avait une lumière rouge à son nez, une lumière blanche à la queue, et un faisceau vert distinctif émanant de la partie la plus inférieure se son corps. Le faisceau vert s'est projeté sur l'avant de l'hélicoptère, par le pare-brise, baignant l'habitacle d'une lueur verte intense. Aucune turbulence n'a été ressentie et l'équipage n'a entendu aucun bruit provenant de l'objet. Après quelques en secondes, l'objet a accéléré et s'est écarté vers l'Ouest, montrant seulement la lumière blanche de sa "queue" pendant qu'il reculait, et a fait un changement distinct de cours de 45 degrés vers la droite, se dirigeant vers le lac Erié.

Tandis que l'objet était encore visible, Coyne a noté que l'altimètre indiquait 3.500 pieds avec un taux d'élévation de 1.000 pieds par minute. Pourtant le collectif (dispositif de direction) était toujours dirigé vers une descente pendant et depuis la tentative pour éviter l'objet. Coyne a pu reprendre le contrôle une altitude indiquée de 3.800 pieds et à ce moment l'équipage a senti un léger "heurt." Passant en revue ses instruments, Coyne a noté que la boussole magnétique tournait lentement, alors que l'indicateur magnétique par radio fonctionnait normalement. Il est descendu à l'altitude de croisière précédemment assignée de 2.500 pieds et a pris contact par radio avec les aiguilleurs du ciel d'Akron/Canton. A ce moment là il n'y avait plus aucun problème avec les communications par radio.

Au sol, le conducteur et des passagers d'une voiture ont vu des lumières, l'un rouge et l'autre verte, volant ensemble, descendant rapidement vers eux. D'abord ils ont pensé que c'était un petit avion volant bas plat bas, mais le rouge était trop lumineux, particulièrement comparé au vert. Ils ne pouvaient discerner aucune forme, et n'ont entendu aucun bruit. Quand l'objet a approché la voiture de la droite, ses qualités peu communes ont convaincu le conducteur de se garer et de s'aarrêter. Ils se sont alors rendus compte qu'un deuxième groupe de lumières, certains d'entre elles clignotant, les approchait par derrière (au Sud-Ouest) et ont entendu le bruit de l'hélicoptère pour la première fois. Le conducteur a pensé que les deux ensembles de lumières étaient deux hélicoptères allant s'écraser. Pendant quelques secondes ils ont observé par les fenêtres ouvertes de la voiture pendant que la lumière régulière rouge et l'hélicoptère convergeaient, puis certains des passagers sont sortis.

"L'un objet est passé au-dessus de l'autre," ont-ils rapporté, "et alors il s'est arrêté." Ils ont décrit l'objet non identifié comme étant "quelque chose comme un dirigeable... L'hélicoptère était plus petit que l'objet." Après que l'objet avec la lumière rouge se soit arrêté, la lumière verte s'est dirigée vers le haut. "Quand nous sommes sortis, tout était vert. J'ai vu cette chose et l'hélicoptère... Il à tout éclairé en vert... Des sortes de rayons en descendaient." Les témoins ont convenu que l'hélicoptère était vert en raison de la lumière brillante vers le bas projetée par l'objet au-dessus de lui.

Pendant qu'ils continuaient à observer, l'hélicoptère et l'autre objet au-dessus et légèrement en avant de lui se sont déplacés en tandem du Sud-Ouest au Nord-Est. Ils ont rapporté ce mouvement comme un trajet en arrière ou en zigzag de l'objet. Soudainement le feu vert s'est éteint et l'objet est parti. "Quand la lumière s'est éteinte vous ne pouviez plus voir l'objet. Ensuite l'hélicoptère est allé au Nord-Est. Alors nous sommes revenus dans la voiture et avons continué, et vu [l'hélicoptère] voler au-dessus du lac."

Une analyse chronologique a été réalisée par Jennie Zeidman et a prouvé que l'objet non identifié a été en vue de l'équipage de l'hélicoptère sans interruption pendant au moins cinq minutes - probablement six. Les gens de l'équipage de l'hélicoptère et au sol ont témoigné que l'objet était de forme précise et opaque, avec des contours distincts et aucune traînée. Ce témoignage, et les manoeuvres rapportées, excluent absolument que l'objet ait pu être un météore. (Zeidman, 1979)
1er Septembre 1974; Langenburg, Saskatchewan, Canada; 11:00 du matin.

Témoins: le fermier Edwin Fuhr, 36 ans; l'agent de la Police Montée Canadienne Ron Morier, l'enquêteur de la police sur le terrain.

Caractéristiques: objets circulaires (hémisphériques), formation, vol coordonné, traces physiques, effets électromagnétiques, réaction animale.

Tandis que Fuhr conduisait un engin pour moissonner sa récolte, il a remarqué un objet d'apparence métallique et en forme de dôme à environ 50 pieds de distance et s'est arrêté pour l'étudier. Marchant jusqu'à moins de 15 pieds de lui, Fuhr a vu qu'il tournait et faisait tourbillonner l'herbe sous lui. Ceci l'a effrayé et il s'est éloigné. Remontant sur son engin agricole, il a regardé aux alentours et vu quatre dômes de plus, identiques au premier, "comme s'ils étaient en acier inoxydable brossé" disposés en un demi-cercle approximatif, tous planant et tournant à environ un pied au-dessus du sol. Sans qu'il soit clair que ce soit du à la panique ou a un effet électromagnétique, Fuhr ne pu pas remettre en route le moteur et la commande de direction de son engin.

Un des objet s'est soudainement élevé, rapidement suivi des quatre autres, montant en une formation les uns derrière les autres. A environ 200 pieds ils se sont arrêtés, chacun émettant un souffle de vapeur grise de dans le prolongement de sa base. La vapeur s'est prolongé sur environ six pieds, suivis d'une rafale de vent de haut en bas qui a aplati la récolte dans la zone située juste au-dessous. Les objets ont alors formé une ligne droite, et plané pendant une minute.

Fuhr est allé au secteur ou ils avaient atterri et a trouvé cinq anneaux d'herbe enfoncée et aplati de manière tourbillonnante dans le sens des aiguilles d'une montre. Il n'y avait aucune indication de chaleur ou de brûlure. Quelques cercles additionnels ont été trouvés dans le secteur plus tard dans le mois. Fuhr a plus tard a appris que le bétail dans un domaine voisin avait beuglé et avaient franchi une barrière au moment de son observation.

L'agent de la Police Montée Canadien Ron Morier, cité par Canadian Press, a dit: "quelque chose avait été là et je doute que cela ait été un canular. Il n'y a aucune indication que quelque chose ait été roulé jusque là, et M. Fuhr a semblé véritablement effrayé." Morier a plus tard déclaré a un enquêteur "il n'y a là aucune chance que cela ait été un canular... Quoi que ce soit qui ait été là, c'est venu d'en haut et est reparti de la même manière, pour autant que je puisse le dire." (Phillips, 1975; Rutkowski et Timmerman, 1992)
1er Janvier 1978; Santa Monica, Californie; 12:45-1:00 de l'après midi.

Témoin: Floyd P. Hallstrom (37 ans d'expérience de pilote opérationnel, en tant que membre d'équipage de combat opérationnel de la Marine et chef du personnel d'un équipage de l'amirauté, y compris auprès du commandant en chef de la flotte Atlantique)

Caractéristiques: Disque avec dôme et hublots, le soleil se reflétant sur le du dôme.

Pilotant un avion Cessna 170A depuis Oxnard, Californie, vers San Diego, Hallstrom approchait Santa Monica à 7.500 pieds d'altitude. En avant de lui se trouvait un ami, Jim, transportant un avion neuf vers San Diego. Hallstrom le suivait et avait prévu de le ramener à Oxnard après qu'il ait livré l'avion. Le ciel était clair excepté une couche de brouillard à proximité de l'aéroport international de Los Angeles (LAx).

"J'ai repéré [l'OVNI] juste sur le bord du secteur de brume au-dessus de LAx légèrement sur le côté Est... J'ai pensé que c'était Jim ainsi je l'ai observé pendant environ une minute parce qu'il m'avait juste présenté son rapport de position, mais il m'a semblé être plus grand et venir vers moi ainsi je me suis naturellement rendu compte que ce n'était pas Jim... J'ai commencé à regarder pour voir ce que c'était mais je pouvais voir aucune aile sur cet avion bien qu'en fait je puisse voir des fenêtres qui ressemblaient à des hublots de passager d'un avion. Quand il s'est approché, cependant, j'ai pu déterminer qu'il n'y avait aucune aile ou empennage horizontal à cet avion comme en ont les avions conventionnels..."

Hallstrom s'est demandé si c'était un certain genre d'hélicoptère, mais il s'approchait à grande vitesse. Il a regardé vers le bas à un angle d'environ 30 - 45 degrés l'OVNI au moment ou il est passé à environ 6.000 pieds vers sa gauche. Il n'y avait aucun rotor, aucune queue.

"Tout d'un coup j'ai pu constater la forme entière, celle d'une soucoupe ou un d'objet rond... Je pouvais voir le dôme, très nettement, y compris toutes les fenêtres... [J'] ai observé qu'il avait l'éclat d'un métal très brillant... Plus du type du nickel ou du chrome fortement poli ou de l'acier inoxydable que de l'aluminium parce qu'il a eu plus d'une brillance plus forte que celle d'un aluminium poli."

Hallstrom a observé de 16 à 20 fenêtres également espacées autour de la circonférence du dôme, juste au-dessus de la base. Le dôme a semblé être une hémisphère parfaite d'environ 20 pieds de diamètre se reposant sur la base qui avait environ 30 pieds de diamètre. L'OVNI a continué sur un cours d'environ 310 degrés (par rapport au cours de Hallstrom) sans signe de rotation, ni d'oscillation, de tangage, du roulement, ou lacet. Il n'y avait absolument aucune indication d'un système de propulsion. Le soleil se reflétait sur le dôme comme une tache lumineuse pendant que l'OVNI passait. Après environ une minute l'objet a disparu de la vue derrière le Cessna. Hallstrom a estimé sa vitesse à environ 650mph. Il a rapidement pris des notes et a fait un croquis de l'OVNI.

Attrapant le microphone de la radio, il a appelé une première fois son ami Jim pour rapporter ce qu'il avait vu. Puis il a informé diverses autorités de la FAA.

Hallstrom, secoué par cette observation, n'avait pas pris le sujet sérieusement jusqu'ici. Les implications de ce qu'il avait vu l'ont frappé. Il plus tard a rapporté que l'expérience avait changé sa vie entière. (journal de MUFON UFO, janvier 1978, pages 3-5)
9 Novembre 1978; Kowait; heure non rapportée:

Témoins: Techniciens de gisement de pétrole

Caractéristiques: Disque avec dôme, lumières clignotantes sur le corps, atterrissage, effets électromagnétiques sur équipements de pompage et de communications, photographies.

Des employés d'une compagnie pétrolière du Koweit ont rapporté une série d'observations d'OVNIS à partir du 9 Novembre jusqu'au 21 Novembre 1978, y compris des photographies alléguées dans certains cas. Le 9 Novembre, au centre de centralisation des pompages numéro 24, les techniciens ont vu un objet en forme de disque avec un dôme sur le dessus posé au sol. Ceci a coïncidé avec une panne de la station de pompage de pétrole l'interruption des communications. Après environ 7 minutes l'objet est parti à grande vitesse. L'institut pour la recherche scientifique du Koweit (KISR) a conduit des recherches, mais n'a pas pu expliquer les observation et considère son rapport comme "confidentiel." Quand le même OVNI ou un OVNI semblabe a réapparu le 21 Novembre, un employé de la compagnie pétrolière du Koweit a obtenu "... un certain nombre de photographies de l'objet." Celles-ci ont été examinées par KISR, mais leur rapport n'a été jamais publié. (communication privée d'un membre de scientifique de l'institut du Koweit pour la recherche scientifique; Koweit Times, Novembre 16, 18, 1978; Arab Times, 24 Janvier 1979)

4 Mars 1988; Eastlake, Ohio; 20:35.

Témoins: une famille, du personnel des garde-côtess, d'autres séparément.

Caractéristiques: grand objet elliptique, faisceaux lumineux, lumières sur l'engin s'allumant en séquences, atterrissage sur la glace d'un lac, effets sur la glace, objets satellites manoeuvrant autour de l'objet primaire.

Le personnel de la garde côtière répondant aux rapports de citoyens au sujet d'une activité aérienne anormale au-dessus du lac Erié a été témoin d'un grand objet elliptique planant au-dessus du lac. Une famille conduisant vers son domicile a vu l'objet, on conduit vers la plage pour l'étudier et ils sont sortis de la voiture. Dans le clair de Lune, ils pouvaient voir la glace sur le lac qui faisait des bruits de craquements.

Un énorme objet gris métallique sombre en forme de ballon de rugby planait bas au-dessus du lac, basculant dans les deux sens. Une lumière blanche aveuglante émanait de ses deux extrémités. L'objet était silencieux. Quand il s'est déplacé, balançant une extrémité vers le rivage et descendant, la famille a été très effrayée, ils ont couru vers leur voiture et se sont sauvés. A leur maison, ils pouvaient voir l'objet immobile depuis fenêtre qui a faisait face au lac.

L'objet se déplaçait au-dessus de la glace et est descendu, ses lumières rouges et bleues clignotaient maintenant en séquence le long de son bord inférieur. La famille a appelé la police d'Eastlake pour rapporter un OVNI. Après l'avoir signalé à plusieurs autres autorités, sans qu'un grand intérêt ne soit montré, quelqu'un a suggéré les garde-côtes.

Soudainement 5 ou 6 objets triangulaire jaune lumineux ont jailli du centre du grand objet et ont commencé à voler autour indépendamment. A un moment ils se sont arrêté et ont plané de manière stationnaire autour de l'objet parent, puis ont filé au loin vers le Nord, ont tourné, puis se sont dirigés vers l'intérieur des terres vers la centrale nucléaire de Perry. Des témoins indépendants ont observé cette action. A ce moment la famille a appelé les garde-côtes qui ont envoyé une équipe pour enquêter.

Le marin James Power et l'officier John Knaub sont arrivés. Ils ont indiqué à la famille qu'ils avaient vu quelques lumières au-dessus du lac depuis le port de Fairport et ont pensé que c'étaient des fusées. Peut-être il y avait quelques pêcheurs bloqué là dehors par les glaces. La famille a montré l'engin principal avec certains des objets triangulaires passant toujours comme un éclair autour de lui. Les hommes se sont rendus plus près du lac pour mieux se rendre compte, accompagnés du mari et de l'épouse. A la berge tous ont pu entendre les bruits et grondements de la glace.

Dans leur rapport sur l'incident envoyé plus tard par télétype aux sièges sociaux des garde-côtes à Detroit, Michigan, les hommes ont été cités comme déclarant "la glace craquait et bougeait de façon anormale alors que l'objet s'en rapprochait."

Power et Knaub ont présenté un rapport détaillé sur le vif à leur base par l'intermédiaire de la radio bi-directionnelle dans leur Chevrolet. La fenêtre était baissée, et le mari et l'épouse les ont surpris a dire ces mots: "Sachez que l'objet semble se poser sur le lac... il y a d'autres objets se déplaçant autour de lui. Ces plus petits objets volent à vitesse élevée. Il n'y a aucun bruit de moteur et ils sont très, très bas." Ils ont continué à observer pendant plus d'une heure. Ils furent entendus quand ils dirent à leur base des choses comme: "vous devez savoir que l'objet projette maintenant des lumières partout sur le lac et il prend différentes couleurs." Les hommes devaient crier pour être entendus sur la radio en raison du bruit de tonnerre de la glace.

Soudainement les triangles plus petits sont revenus et sont entrés sur un le côté de l'objet parent alors que celui-ci semblait toucher la glace. L'objet a alors fait clignoter un séquence de lumières rouges, bleues, et jaunes, la lumière émanant de l'extrémité de l'objet tourné du blanc au rouge, et les triangles sont réapparu et ont plané au-dessus de lui. Le bruit de la glace a brutalement cessé, et les lumières et les triangles ont disparu. Quand il s'est approché au dessus de la côte, les gardes côtes ont conduit leur voiture plus loin, "blancs comme un linge," selon le mari. (Evans, 1992; voir également le rapport par télétype des gardes côtes sur l'incident)
25 mai 1995; Bovina, Texas; 10:30 du matin.

Témoins: le Capitaine Gene Tollefson, le copilote John J. Waller, Vol 564 de America West Airlines.

Caractéristiques: grand objet à la silhouette en forme de cigare, lumières pulsantes le long de son corps, détecté par radar.

Un avion de ligne B-757 de America West Airlines volait à sa vitesse de croisière à 39.000 pieds près de Bovina, Texas, en route de Tampa en Floride vers Las Vegas dans le Nevada. Vers leur droite et légèrement au-dessous de leur altitude, l'équipage a vu une rangée de lumières blanches brillantes qui s'allumaient et s'éteignaient dans l'ordre de gauche à droite. Le copilote est entré en contact avec le centre de commande du trafic aérien de la FAA à Albuquerque tandis que cette observation se déroulait, pour savoir s'il y avait des activités militaires possibles. Des contrôles ont été effectués auprès des installations militaires dans le secteur, mais aucune explication n'a pu être trouvée.

Alors que l'avion continuait vers l'Ouest et que l'objet commençait à être laissé en arrière, l'équipage l'a observé sur un fond de nuages noirs. Quand les nuages derrière l'objet ont reflété ses lumières, ils purent voir sa silhouette sombre, sans ailes, ovale en forme de cigare environné par ses lumières stroboscopiques. Bien qu'ils n'aient pas su la distance exacte de l'objet, le pilote et le copilote ont estimée qu'il devait avoir entre 300 et 400 pieds de long.

Le radar de la FAA à Albuquerque n'a pas détecté l'objet. Un des aiguilleurs du ciel est entré en contact avec le commandement Nord-Américain de Défense aérienne (NORAD), qui surveille l'espace aérien Nord-Américain par radar, et a dit que le NORAD avait confirmé un écho radar non identifié à proximité. Il s'est avéré plus tard que c'était un petit avion dont le transpondeur ne fonctionnait pas.

Le matin prochain le contrôleur a dit qu'il a encore vérifié avec le NORAD. Le NORAD lui a indiqué qu'ils avaient dépisté des autres cible très peu commune dans le même secteur général peu de temps après - quelque chose qui d'abord était stationnaire, puis avait accélérée rapidement et s'était arrêtée abruptement, répétant cette manoeuvre plusieurs fois. Les éclats de vitesse ont été calculés comme étant de 1.000 à 1.400 mph. Ce rapport, basé sur la parole de l'aiguilleur du ciel, n'a pas pu être indépendamment confirmé. (W. Webb, 1996)

MANOEUVRES ET "CONTROLE INTELLIGENT:"

Après la vague d'OVNI de 1952 qui a durée presque une année, lors de laquelle des intercepteurs à réaction ont poursuivi des OVNIS qui ont également été montré sur les radars, la CIA a assemblé le prétendu Robertson Panel pour évaluer les données. Parmi les présentations faites au panel scientifique il y avait celle de Dewey J. Fournet (de l'U.S. Air Force) qui travaillait avec des analystes scientifiques pour entreprendre une étude rigoureuse des mouvements dans les meilleurs des cas non expliqués.

Edward J. Ruppelt, ancien chef de la recherche du Projet Blue Book de l'Armée de l'Air, a plus tard signalé que les discussions furent "très brûlantes et... [très controversées] parce que l'étude n'était pas officielle, et la raison pour laquelle elle n'était pas officielle était que c'était trop brûlant. L'étude a conclu que les OVNIS étaient des vaisseaux spatiaux interplanétaires." (Ruppelt, 1956, pages 285-286)

Les analystes de l'Armée de l'Air avaient déjà tiré cette conclusion auparavant. Le Projet Sign en 1948 avait publié une évaluation de la situation top secrète qui faisait la même conclusion. (Hall, 1964, p. 110) mais les deux consultants externes en la matière à cette époque, sur la base de ce qui étaient des vues discutables et superficielles et excessivement sceptiques, ont contesté la conclusion. (Hall, 1988, pages 155-163)

Beaucoup de ces derniers cas d'interception par des chasseurs à réactions avaient permis de noter une sorte de comportement de "chat-et-souris" de la part des OVNIS, s'éloignant des chasseurs à leur poursuite et puis ralentissement jusqu'à ce qu'ils soient à nouveau rattrapés. Ce comportement a été répété dans toute l'histoire des OVNIS, et est un des nombreux indicateurs d'une intelligence derrière le phénomène. Des cas peuvent être cités sans fin dans lesquels les OVNIS ont apparemment joué en interaction avec (a) les avions militaires, et (b) des voitures de patrouille de la police.

3 Septembre 1965; Damon, Texas; 23:00.

Témoins: le Shérif adjoint Billy E. McCoy; le Shérif adjoint Robert W. Goode.

Caractéristiques: objet structuré ovale, corps lumimeux, forte illumination, interaction chat-et-souris.

Tandis qu'ils étaient en patrouille de routine, Goode et McCoy ont repéré une lumière pourpre brillante sur l'horizon au-dessus de la prairie à environ cinq à six milles de distance au Sud-Ouest d'eux. Ils ont discuté de plusieurs explications possibles pour ce qu'ils voyaient - des lampes, une installation pétrolifère - mais aucune d'elles n'a semblé acceptable. Soudain sans avertissement, une lumière bleue - de plus petit diamètre - a émergée de la lumière pourpre et s'est déplacée vers sa droite avant de s'arrêter. Les deux lumières ont demeurées dans cette orientation pendant une période avant de commencer à dériver vers le haut. Ce mouvement flottant ascendant, tel que McCoy le décrivait, a continué jusqu'à ce que les objets aient atteint une position de 5 à 10 degrés au-dessus de l'horizon. Goode a alors regardé les lumières par des jumelles, mais il n'a pu distinguer aucun autre détail.

Leur curiosité réveillée, les policiers ont commencé à rechercher les routes qui pourraient les rapprocher des lumières. Goode s'est arrêté près d'un pâturage et a utilisé de nouveau ses jumelles pour observer les objets par la fenêtre ouverte de la voiture. Cette fois, alors que les hommes observaient, les lumières se sont brusquement dirigées vers eux à une vitesse fantastique, couvrant la distance vers eux en une à deux secondes. Les officiers ont vu un objet massif qui s'est brutalement arrêté et a plané pratiquement au-dessus d'eux. Sa lumière pourpre brillante a éclairé leur voiture et les environs. Des lumières pourpres et bleues étaient attachées aux extrémités opposées d'un énorme objet, planant à environ 150 pieds d'eux au-dessus d'un pâturage, il avait une taille d'environ 100 pieds. Dans son rapport consécutif pour l'Armée de l'Air, McCoy a décrit ce qu'il a vu:

"L'essentiel de l'objet était parfaitement visible à ce moment et cela semblait être de forme triangulaire avec une lumière pourpre brillante sur l'extrémité gauche et une lumière plus petite, moins brillante, bleue, sur l'extrémité droite. La majeure partie de l'objet semblait être de couleur gris-foncé sans autres caractéristiques distinctes. Cela semblait avoir environ 200 pieds de large et de 40 à 50 pieds d'épaisseur en moyenne, effilé aux deux extrémités. Il n'y avait eu aucun bruit ou traînée. La lumière pourpre brillante éclairait le sol directement en dessous et le secteur devant lui, y compris la route et l'intérieur de notre voiture de patrouille. Les hautes herbes sous l'objet n'ont pas semblé être dérangées. Il y avait une lune brillante dehors et elle a formé l'ombre de l'objet sur le sol juste au-dessous de lui dans l'herbe."

L'objet a semblé être "... aussi grand qu'un terrain de football." Goode a pu ressentir la chaleur de l'objet par son bras gauche sous sa chemise. Effrayé par l'objet étrange apparaissant distinctement au-dessus d'eux, les policiers "... ont mis la voiture en route et se sint dirigés vers Damon aussi rapidement qu'ils pouvaient le faire" en roulant jusqu'à 110 miles par heure. La surveillance exercée par McCoy par la fenêtre arrière de la voiture, lui permettait de voir les actions de l'objet. Après 10 à 15 secondes, l'OVNI est brutalement reparti en arrière dans la direction par laquelle il était venu. "Après être arrivé approximativement à son position originale," observa McCoy, "il est monté directement vers le haut dans le ciel et a disparu à 25 ou 30 degrés au-dessus de l'horizon."

Après qu'ils aient réussi à se calmer, McCoy et Goode ont décidé de retourner vers le secteur pour essayer d'identifier l'objet mystérieux. Revenus sur la route 36 près du secteur où ils avaient vu la première fois les lumières, ils ont encore remarqué la lumière pourpre sur l'horizon. La lumière bleue plus petite s'est déplacée de nouveau vers eux avec un mouvement étrange en deux étapes et les lumières ont flotté vers le haut. Effrayé par la possibilité d'une autre rencontre rapprochée non souhaitée, ils se sont à nouveau sauvés.

Les adjoints ont rapporté leur observation à la base aérienne d'Ellington, et le Major Principal Laurence Leach Jr., arriva le 8 Septembre pour interviewer McCoy et Goode et pour noter leurs déclarations. Leach, dans son rapport pour les quartiers généraux du Projet Blue Book à la base aérienne de Wright-Patterson, a indiqué qu'il avait été embarrassé après avoir interviewé les deux hommes. "Il n'y a aucun doute dans mon esprit," écrivit-il, "qu'ils ont certainement vu une sorte d'objet ou de phénomène peu commun."

Les deux officiers semblaient être des personnes intelligentes, mûres, rationnelles et capables d'un jugement sain et de raisonnement. "L'Armée de l'Air a finalement classé cette observation comme inexpliquée." (Fichiers du Projet Blue Book aux Archives Nationales; Rapport de McCoy, département du shérif du comté de Brazoria, 8 Septembre 1965; "OVNIS d'Ellington [AFB] vues par les adjoints locaux du Shériff," Brazosport Facts, 6 Septembre 1965; Rhonda Moran, "La nuit de l'OVNI," Brazosport Facts, 13 Septembre 1995.)

17 Avril 1966; Ravenna, Ohio; crépuscule.

Témoins: Dale Spaur et Wilbur Neff, shérifs adjoints; officiers de police dans plusieurs autres juridictions.

Caractéristiques: objet de type disque structuré avec faisceau lumineux brillant dirigé vers le sol, jeu de chat-et-souris à travers la frontière d'état.

Les adjoints du Shériff Spaur et Neff du comté de Portage étudiaient une voiture abandonnée quand ils ont été confrontés à un objet en forme de disque, brillant, qui s'est élevée vers le haut hors des bois et s'est arrêté en l'air, les éclairant ainsi que les environs. L'objet faisait un bruit de bourdonnement. Après avoir conféré avec leur central, ils ont pourchassé l'objet jusqu'en Pennsylvanie. Le long de l'itinéraire d'autres officiers de police, entendant les nouvelles par radio au sujet de quelque chose d'étrange se dirigeant vers leur secteur, ont alors rejoint la chasse alors que l'OVNI volait devant, suivie par la voiture du shérif du comté de en une poursuite échevelée.

L'objet a semblé jouer un jeu de chat-et-souris avec Spaur et Neff, accélérant et puis ralentissant jusqu'à ce qu'ils puissent à nouveau le rattraper. Vers la fin de l'observation l'objet est pari au loin dans la distance et a plané immobile pendant un moment. Enfin il a filé tout droit vers le haut hors de la vue disparaissant parmi les étoiles du ciel. (Weitzel, 1966; Clark, 1998, pages 450-465)

RENCONTRES AGGRESIVE:

Tout ceux qui font la promotion de l'hypothèse d'un "phénomène naturel" ou de l'hypothèse d'une origine "de technologie terrestre secrète" ont des problèmes sérieux, basés non seulement sur les cas de type "objet structuré" décrits ici et les possibilités de manoeuvre qu'ils ont montré, mais également sur la durée avec laquelle des rapports de cette sorte ont été faits. De tels rapports remontent au moins au début du 20ème siècle (Hall, 1999, en cours). En outre, croire que les OVNIS sont simplement des "phénomènes naturels" sans conduire réellement des enquêtes scientifiques est probablement dangereux, du fait de la nature du phénomène OVNI et de l'impact sérieux qu'il a eu sur des êtres humains et sur la société.

On ne peut pas simplement ignorer et refuser d'étudier "un phénomène naturel" qui survole inpunément des espaces aériens réservés en mettant en danger des passagers des lignes aériennes, menace les citoyens en les confronte brutalement dans leur vie, et infligeant des dommages médicaux sérieux dans de nombreux cas. Un tel phénomène, même s'il était bien naturel, devrait au moins être sujet de recherches scientifiques au même titre que les tornades, les ouragans, et d'autres désastres naturels le sont.
15 Mars 1965; Everglades; 01:00 du matin.

Témoins: James Flynn, maître chien; un ophtalmologue qui a traité ses dommages oculaires; des enquêteurs qui ont découvert des preuves physiques de type traces.

Caractéristiques: Objet conique, bruit, faisceau lumineux, effets physiologiques, réaction animale, preuves de traces physique.

Flynn, faisant du camping dans les Everglades en Floride, a vu un objet en forme de cône planer et a marché dans sa direction pour se rendre compte, pensant que ce pourrait être un engin militaire en détresse. L'objet émettait un bruit semblable à celui d'un générateur diesel, et ses chiens ont hurlé. Flynn a agité ses bras, et à ce moment a entendu un bruit semblable à celui d'un réacteur et a senti un souffle de vent, et un faisceau lumineux mince a jailli de l'objet, le touchant à la tête et le laissant sans connaissance. Les chercheurs ont par la suite trouvé la végétations endommagée sur le site, y compris un cercle d'un diamètre de 72 pieds et des herbes brûlées. Flynn a souffert d'effets physiologiques graves, y compris une cécité partielle et des dommages oculaires mesurables. (Keyhoe et Lore, 1968, pages 12-16; voir le rapport de l'ophtalmologue, pages 14-15)
19 Septembre 1976; Téhéran, Iran; 1:30 du matin.

Témoins: Deux F-4 pilotes, radar militaire, citoyens.

Caractéristiques: Objet brillant, écho radar, poursuite par avions à réaction, effets électromagnétiques sur des systèmes d'armes.

Un rapport d'évaluation de 1976 par les services de renseignements de la Défense (DIA) et un document de trois pages de messages de télétype du Département de la Défense ont décrit un cas particulièrement significatif d'OVNI. Les appels de citoyens Iraniens reçus par le commandement de l'Armée de l'Air au sujet de l'activité d'un OVNI, et les observations consécutives d'un objet lumineux brillant les ont menés à envoyer un chasseur F-4 Phantom de Shahrokhi AFB pour l'étudier. Le F-4 décolla à 1:30 heure du matin et se dirigea vers un point à 40 miles nautiques au Nord de Téhéran. Le pilote pu facilement voir la lumière brillante de l'OVNI à une distance de 70 miles.

Alors que le F-4 se rapprochait de l'objet, tout ses instruments et moyens de communication (ultra-haute fréquence et intercom) ont été perdus. Le pilote a interrompu l'interception et est rentré à sa base. "Quand le F-4 a laissé l'objet et n'était apparemment plus une menace à lui, l'avion a regagné toute son instrumentation et ses capacités de communications," a indiqué le rapport de la DIA.

Un deuxième F-4, à 1:40 heure du matin, a acquis la cible sur son radar à 27 miles marins, 12 heure d'élévation avec une vitesse de rapprochement à 150 noeuds. Alors que la distance avait diminué jusqu'à 25 miles nautiques, "l'objet s'est écarté à une vitesse qui était visible sur l'écran radar et est resté à 25 miles nautiques de distance constante."

La taille de l'écho radar était comparable à celle d'un Boeing 707. Il était difficile discerner la taille visuelle de l'objet en raison de sa luminosité intense. Il avait des lumières clignotantes de manière stroboscopiques arrangées de manière rectangulaire, du bleu alternant avec du vert du rouge, et de l'orange. Elles clignotaient tellement rapidement que toutes les couleurs pouvaient être vues simultanément.

Alors que le F-4 a continué la poursuite vers le Sud, un autre objet brillamment éclairé a émergé du premier objet s'est dirigé directement vers le F-4 comme un missile, à vitesse élevée. Le pilote a essayé de mettre le feu à un missile AIM-9 vers l'OVNI, "mais aussitôt mon pupitre de commandes d'armes s'est éteint et j'ai perdu toutes les communications (ultra-haute fréquence et interphone). A ce moment le pilote s'est lancé dans un virage et un piqué a accélération négative pour s'éloigner. Alors qu'il tournait l'objet s'est placé à sa suite à ce qui a semblé être environ 3 à 4 miles nautiques. Pendant qu'il continuait son virage, loin de l'objet primaire, le deuxième objet s'est placé à l'intérieur de son virage puis est retourné vers l'objet primaire et l'a rejoint de manière parfaite. Après avoir vu une lumière s'éloignant de l'objet aller vers le sol, le pilote est descendu pour voir une explosion possible de missile et a perdu de vue l'objet principal.

L'évaluation de la DIA a énoncé ceci: "un rapport exceptionnel. Ce cas est un classique qui répond à tous les critères nécessaires pour une étude valide du phénomène des OVNIS." L'analyse a qualifié les manoeuvres de l'OVNI comme étant "impressionnantes," notant que les objets ont montré "une capacité de manoeuvrabilité exceptionelle." (Les enquêtes OVNI, Nicap, Novembre 1976; Évaluation du rapport d'information de la DIA, numéro IR 6846013976, 22 Septembre 1976, par le Commandant Roland B. Evans, de l'U.S. Air Force, analyste des possibilités militaires; Internation UFO Reporter, Janvier 1978, pages 6-7; Journal De Téhéran, 20 Septembre 1976; Fawcett et Greenwood, 1984, pages 81-86)

EFFETS PHYSIQUES ET PHYSIOLOGIQUES:

Les effets réels rapportés dans les cas ci-dessus sont pratiquement une caractéristique standard des cas "d'objets solides". Parmi les exemples additionnels comportant des effets physiques et physiologiques il y a les cas suivants.
15 Octobre 1966; Split Rock Pond, New Jersey; 04:30 du matin.

Témoins: Jerry H. Simons, un forestier.

Caractéristiques: objet en forme de disque, poursuite d'une voiture, illumination brillante, effets électromagnétiques, effets physiologiques.

Après avoir campé dehors à Split Rock Pounds, Simons conduisait vers son domicile quand il a vu une lueur rouge-orange autour de sa voiture, et a alors noté un objet en forme de disque qui le suivait. Quand la lumière de l'objet a brillamment éclairé son véhicule et les environs, ses phares et son moteur se sont arrêtés. Les effets éectromagnétiques ont été corrélés avec le faisceau lumineux, se produisant seulement quand la voiture était dans le secteur lumineux. [cf. 4 mars 4, 1969, Atlanta, Missouri, ci-dessous] Quand l'incident a cessé il a constaté que son moteur avait démarré spontanément.

Peu de temps après l'observation, Simons a eu une maladie se reproduisant de manière cyclique durant trois mois et a été hospitalisé, mais aucune cause n'a pu être trouvée. Les problèmes médicaux se reproduisants ont été considérés comme suffisamment peu ordinaires pour justifier ce rapport historique. (Medical Times, Octobre 1968)

4 Avril 1969; Atlanta, Missouri; 06:40 du matin après le lever du soleil.

Témoins: William Overstreet, facteur.

Caractéristiques: L'objet rouge brillant, faisceau lumineux aveuglant, chaleur, effets électromagnétiques associés au faisceau lumineux.

Tout en conduisant cers l'Est près d'Atlanta, Missouri, Overstreet a rencontré un objet rouge incandescent de forme ronde émettant un faisceau lumineux aveuglant vers le sol, et il a en a senti la chaleur. L'objet a volé juste en avant de son véhicule. Quand le témoin conduisait à travers le faisceau lumineux, son moteur et sa radio s'arrêtaient. Les effets électromagnétiques étaient en relation avec le faisceau lumineux, et le véhicule a fonctionné normalement en dehors des moments ou le faisceau était sur lui. Overstreet a suivi l'objet sur environ 4 miles en roulant à environ 40 mph, observant ses montées et descentes comme s'il suivait les variations du relief. Après 7 ou 8 minutes l'objet a viré au loin vers le Sud-Est et a volé hors de la vue. (rapport de témoin dans des dossiers du NICAP; Kansas City Star, 6 Mars 1969)

29 Décember 1980; Huffman, Texas; 21:00.

Témoins: Betty Cash, Vickie Landrum, Colby Landrum; une douzaine de témoins ayant observé les hélicoptères.

Caractéristiques: Objet en forme de cône, ou d'axe, ou dôme, lumières sur son corps, graves effets physiologiques.

Alors qu'elle conduisait à travers les bois de Piney dans l'Est du Texas, à environ 40 miles au Nord-Est de Houston, Betty Cash, avec Vickie Landrum et son petit-fils Colby a noté une lumière brillante en avant. Pendant qu'ils s'approchaient à environ 130 pieds ils ont été confrontés à un objet en forme de diamant intensément lumineux émettant un échappement semblable à des flammes vers le bas vers la route. Betty a arrêté la voiture pour éviter les flammes, mais l'intérieur de voiture est devenu chaud et elles ont du sortir, et la chaleur de l'objet a brûlé leur peau. Elles ont été terrifiées par cette apparition.

L'objet était métallique et argenté et des petites lumières bleues étaient visibles autour du centre. Périodiquement, des flammes jaillissaient hors de son fond avec un bruit de souffle et chaque fois que ceci s'est produite, l'objet s'est élevé de quelques pieds, pour ensuite revenir vers la route quand les flammes cessaient. Les témoins ont pu sentir une sensation brûlante sur leurs visages. Bien que cela ait été une soirée fraîche, la voiture était trop chaude pour être touchée.

Juste comme l'objet commençait à monter lentement dans le ciel, un grand nombre d'hélicoptères (approximativement 12 qui plus tard ont été estimé être des CH-47 Chinooks) sont apparus et ont semblé essayer de forcer l'objet à atterrir. Au lieu de cela, il a volé loin avec plus de 20 hélicoptères à sa poursuite. Betty put finalement reprendre la conduite, et elle a laissé déposé Landrum chez elle et s'est elle même rendue à son propre domicile. Elle est immédiatement tombée malade, éprouvant des maux de tête, des nausées, des diarrhées et des vomissements, une peau rougie et boursouflée, et ses yeux ont gonflé.

Landrum éprouvaient également des symptômes semblables, mais moins graves. Ils avaient des problèmes digestifs et un "coup de soleil." Betty, cependant, a été admis à l'hôpital le 3 Janvier 1981, après avoir perdu de grandes plaques de peau et des mèches de cheveux et être tombée dans un semi coma. Elle a eu pendant longtemps des problèmes médicaux graves par la suite. Le radiologue Peter Rank a plus tard conclu, après avoir examiné les dossiers médicaux, que le trio avait été exposé à des radiations ionisantes, probablement combinées avec certains infrarouges ou ultraviolets.

Une recherche par le bureau de l'inspecteur général des armées ne put pas trouver la source des hélicoptères, suggérant qu'une certaine unité spéciale clandestine ait pu avoir été impliquée. Le cas a des implications profondes en ce qui concerne l'implication du gouvernement par rapport aux OVNIS et les opérations secrètes en rapport. (Schuessler, 1998)

PHYSIQUE DE LA PROPULSION ET TECHNOLOGIE:

Divers indices quant à la nature de la technologie des OVNIS sont contenus dans les centaines ou les milliers de rapports. Les catégories suivantes des données OVNIS seront entièrement documentées dans un prochain rapport, qui contiendra des tableaux détaillés des cas montrant certaines caractéristiques parlantes. (Hall, 2000) L'hypothèse qu'UFOs structurés comme rapportés ici sont métier manufacturé mérite la considération la plus sérieuse. Les données accumulées de 50 ans suggèrent fortement l'air ou le vaisseau spatial manufacturé et technologique.

Les diverses manifestations de lumières associées aux OVNIS sont presque certainement capitales pour une compréhension des énergies impliquées. Les OVNIS ont montré des faisceaux lumineux (y comprise des "lumières solides"), une brillance et souvent une lumière aveuglante qui surpasse les lumières de l'environnement, des pulsations des flashs sur leur corps, et des couleurs et des luminosités changeantes associées à certains de leur mouvements ou manoeuvres. Les porteurs de ces lumières sont typiquement des objets géométriques.

LUMIERES SUR LES ENGINS. Trois types de base:

Des rangées de lumières équidistantes autour d'une surface incurvée, typiquement le bord d'un disque ou la circonférence centrale d'une ellipse; parfois ils clignotent ou pulsent en ordre, ou sont décrits comme "tournantes";

Des "feux de navigation" analogues à ceux sur des extrémités des avions, séparément situées sur le corps, uniques ou en paires, souvent assez proéminentes;

Des fortes lumières clignotantes ressemblant au stroboscope anti-collision des avions; et placées vers l'avant, ressemblant à des phares de voiture et à des projecteurs vers le sol; parfois les rayons de lumières fouillent le sol comme des lampes torches.

RAYONS LUMINEUX.

Les types de faisceaux lumineux incluent des lumières ressemblant à des phares comme mentionnés ci-dessus, et de la "lumière solide" (des faisceaux lumineux tronqués qui se prolongent et se rétractent dans l'engin métier comme si ils étaient solides), et des faisceaux ressemblant aux lasers souvent horizontaux ou à un angle ascendant comme si c'étaient des balises de navigation ou de communication. Dans un nombre étonnant de cas, les OVNIS ont réagi immédiatement quand un projecteur a été pointé vers eux, montrer typiquement des actions rapides (évasives?) et en renvoyant parfois une lumière vers le témoin. Des faisceau semblables à des projecteurs sont souvent directement associés à des effets électromagnétiques et a des effets physiologiques. Plus de 50 exemples des cas typiques de faisceau lumineux seront cités dans le prochain rapport. (Hall, 2000).

A suivre...
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Message  Mantell Dim 19 Déc - 17:47

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FORTE ILLUMINATION.

Les OVNIS sont parfois tellement brillamment lumineux qu'ils rayonnent de la lumière dans un large secteur, illuminant le terrain pendant qu'ils planent ou passent au dessus. De tels cas suggèrent d'énormes quantités d'énergie lumineuse. Les témoins ont à plusieurs reprises employé des expressions telles que "aveuglement," "il faisait mal aux yeux quand je le regardais," "il éclairait la nuit comme si on était en plein jour" pour décrire l'OVNI.
19 Août 1972; Colby, Kansas; 2:00 du matin.

Témoins: le Sergent Paul Carter, le policier Dennis Brown, le policier Earl Wood Jr., le policier Duane Nelson, 50 à 60 citoyens.

Caractéristiques: forme de dôme, bruit, corps instantanément lumineux, luminosité aveuglante, vol plané, accélération ascendante rapide.

Une série d'observations a été rapportée à la police, le premier appel à 2:00 heure du matin était de John L. Calkins. Réveillé par les aboiements de ses chiens, il est allé vers sa porte avant et a vu trois objets planant tout près, émettant un bruit de sifflement perçant et aigu. L'objet le plus grand avait six lumières rouges et vertes clignotantes. Il a également entendu des bruits de bips. Les observations ont continué jusqu'à environ 6:20 du matin.

Le sergent Paul Carter, officier de police de Colby, tout en patrouillant à 2:07 du matin avait vu un engin avec des lumières clignotantes rouges et vertes s'approcher du Nord-Est. Il a transmis son observation par radio au policier Dennis Brown et a commencé à suivre l'objet au sud jusqu'à ce qu'il se soit arrêté et ait plané à 10 ou 15 pieds au-dessus d'un pâturage à environ 1/4 de mile de distance. Il a estimé que cela avait de 30 à 35 pieds de long et de 18 à 20 pieds de haut.

Soudainement l'objet a émis une lumière blanche intense et aveuglante ("trop intense pour être regardée") qui a illuminé le terrain comme si le jour s'était levé. Il pourrait même voir des lapins dans les champs éclairéS par la lumière intense. La forte luminosité cachait la forme de l'objet, mais par deux fois Carter pu voir qu'il était "comme un bol de céréale tourné à l'envers." L'objet a alors émit "un bruit soufflant semblable à celui d'un aspirateur" et filé droit vers le haut dans le ciel et hors de sa vue en environ 3 secondes. Le policier Brown, qui arrivait à ce moment là, a pu voir la lumière au moment ou elle montait vers le haut dans le ciel.

Plus tard l'objet fut aperçu se dirigeant au Sud-Est vers Oakley où la police l'a observé avec des jumelles. Le policier Earl Wood Jr., et son associé, Duane Nelson, purent voir six lumières su son corps, ont vu qu'il était de forme circulaire. Trois lumières sur l'avant étaient blanches, et celles sur le dos clignotaient du rouge au vert. (Flying Sauver Review, Novembre - Décembre 1972, pages 30-31; Journal du MUFON, Août 1987, p. 20)

D'autres exemples: le 11 Octobre 1967, LaPoint, Utah, nuit. Un objet orange lumineux s'est approché et a plané au-dessus d'un camion, sa couleur changeant du vert au bleu, la lumière illuminant le secteur comme en plein jour. L'objet a suivi le camion sur plusieurs virages de la route, puis est parti vers le haut à grande vitesse. (Salisbury, 1974, pages 55-61). LE 9 Juin 1972, Algodonales, Cadix, Espagne, à 22:30 un automobiliste a été soudainement aveuglé par la lumière brillante et jaune d'un ovale pulsant en avant de sa voiture, effets électromagnétiques objet partant vers le haut des arbres en les éclairant alors qu'il s'éloignait. (Ballester Olmos, 1976, affaire 155, p. 37)
INDICES CONCERNANT LA PROPULSION.

De nombreux rapports contiennent des indices possibles quant à la technologie de propulsion des OVNIS:

* Anneaux, quelquefois en rotation
* Produits éjectés visibles (par exemple, brumes, fumées ou brouillards, flammes ou étincelles, trace lumineuse)
* Sifflements, bourdonnements, qui augmentent ou diminuent en intensité en corrélation avec les changements de comportements de vol.
* Changements de luminosité ou de couleur en corrélation avec les changements de comportements de vol, souvent augmentation de la luminosité quand l'objet quitte les lieux.

CARACTERISTIQUES DU VOL:

Bien que de nombreux rapports d'observation d'OVNIS suggèrent des technologies similaires à des technologies humaines (par exemple, rotation, lumières clignotantes, bruit de ronflement, étincelles, fumée) plusieurs des pattern de vol indiquent des principes physiques ou des accomplissements technique d'un ordre bien supérieur. Les trois plus significatif sont:

* Le vol stationnaire et les accélérations
* Un vol avec sauts
* disparitions et apparitions instantanées

Imaginez les choses suivantes (basé sur de nombreuses histoires de cas): Un disque lumineux approche horizontalement, reste en vol stationnaire pendant une période prolongée, part alors abruptement à un angle ascendant raide et sa silhouette diminue rapidement en taille et il disparaît. Un OVNI planant dans le ciel file au loin quand un jet d'interception s'approche, vers un nouvel endroit, s'arrête, file au loin dans une direction différente, se déplace vers le haut, vers le bas, et en longueur à la façon d'une hirondelle. Un OVNI en forme de disque avec une superstructure en dôme plane à la basse altitude, puis disparaît soudainement et réapparaît immédiatement dans un nouvel endroit.

Les caractéristiques combinées de l'aspect et des manoeuvres, et les effets électromagnétiques et physiologiques rapportés, suggèrent ensemble une certaine forme de propulsion électromagnétique gravifique qui protège d'une manière ou d'une autre les occupants des effets de l'inertie. Paul R. Hill, un ingénieur aéronautique respecté de la NASA qui fut témoin d'un groupe d'OVNIS à haute vitesse en 1952, a produit un livre pionnier sur l'établissement des liens de technologie entre notre technologie et celle des OVNIS. (Hill, 1995) James McCampbell, un autre ingénieur, a soigneusement examiné les principes et la technologie physique probablement impliqués. (McCampbell, 1973)

Cet article n'essaye pas de traiter des nombreux rapports concernant des êtres humanoïdes vus en association avec des OVNIS typiques partout dans le monde. Évidemment, ces rapports - s'ils sont valides - indiquent également que les OVNIS sont des engins et ils militent fortement contre n'importe quelle hypothèse de "phénomène naturel". Cependant, une discussion de contact allégué "les yeux dans les yeux" avec des étrangers est au delà de la portée de cet article. Un lien fort peut être établi pour dire que les OVNIS relèvent d'une technologie autre sans référence aux affirmations de contact avec des extra-terrestres.
Examen des objections scientifiques:

Seulement des observateurs naïfs et mal qualifiés signalent des OVNIS.

Réponse: Les gens de tous les secteurs et tout degrés d'instruction, et toutes catégories professionnelles, ont rapporté des ONIS, y compris des scientifiques, ingénieurs, pilotes professionnels, professeurs d'université, et ecclésiastiques.

Les gens voient des OVNIS parce qu'ils recherchent une "solution" de problèmes terrestres.

Réponse: La crainte, la stupéfaction, et des graves perturbations qui à maintes reprises ont été manifestées par des témoins contredit la notion que les gens voient d'une façon ou d'une autre le "salut" dans les OVNIS.

L'idée qu'un événement capital tel qu'un contact extra-terrestre pourrait rester secret est absurde.

Réponse: Pas si les gens qui ont des informations significatives sur les OVNIS sont tout aussi embarrassées et dans la même incompréhension que tout le monde, ne savent pas ce qu'est la signification de ce contact, et sont plus enclins à éviter le sujet autant que possible en "espérant que cela passera" qu'à admettre qu'ils n'ont aucune réponse.

Les OVNIS, s'ils existent, doivent évidemment être quelque phénomène naturel.

Réponse: Ceux qui emploient cet argument ignorent et la nature et la portée des données OVNIS et croient au stéréotype des "vagues lumières dans le ciel". D'autres phénomènes naturels qui affectent la société humaine bien moins que les OVNIS suscitent pourtant bien des financements pour leur étude scientifique. Cet argument peu réfléchi trivialise la vaste quantité des données que ses partisans ignorent, ou veulent ignorer.

Les occurrences d'observations d'OVNIS ne sont pas prévisible, ce sont des événements qu'on ne peut reproduire, donc les OVNIS ne peuvent pas être étudiés.

Réponse: UFOs sont au moins aussi répétitifs et prévisibles que des accidents d'automobile, des tornades, des ouragans, et des météorites, et peuvent être étudiés par certaines des approches scientifiques qui sont appliquées à ces événements.

Il n'y a rien de substantiel dans les histoires d'OVNIS.

Réponse: Lisez cet article, étudiez la littérature citée.

Ce que la science pourrait envisager:

A part les domaines d'études potentiellement fertiles qu'offrent les OVNIS aux sociologues, historiens, psychologues, historiens et sociologues de la science, anthropologues, et en sciences politiques, la façon dont les sciences physiques et biologiques POURRAIENT bénéficier clairement d'une étude des rapports OVNIS est limité seulement par deux manques: le manque d'imagination et manque de financement. Les suggestions suivantes ne font qu'effleurer le sujet:

Avoir des équipes multidisciplinaires qui se rendraient sur les lieux des rencontre rapprochées avec OVNIS ayant générées des preuves physiques ou physiologiques documentées, pour recueillir systématiquement des données, et conduire toutes les analyses de laboratoire appropriées. Appliquer les techniques d'enquête de la police scientifique exactement comme on les applique sur les lieux d'un crime ou d'un accident. Dans le cas d'effets physiologiques sur des témoins, effectuer des tests médicaux appropriés. Pour les véhicules qui ont éprouvé des effets électromagnétiques, prendre des données sur l'âge et l'état du moteur, documenter le circuit d'allumage et les lumières, et tester le véhicule pour chercher des signatures magnétiques.

Développer un ensemble d'instruments à transporter rapidement sur les lieux d'observation d'OVNIS persistantes (il y a de nombreux précédents de ce genre). Inclure des appareils photo sophistiqués et des films spéciaux, des réseaux de diffraction ou d'autres analyseurs de spectre légers, des détecteurs d'énergie électromagnétiques de large spectre, des magnétophones avec les microphones directionnels sensibles pour enregistrement des sons.

Compiler une base de données informatisée de tous les cas qui répondent à un certain ensemble de minimum de normes adaptées à déterminer la valeur potentielle d'une observation. Conduire des analyses statistiques des associations géophysiques. Étudier systématiquement les données concernant des indices de propulsion et la physique des OVNIS.

Compiler les rapports de preuves passéEs de toutes les observations radar-visuelles d'OVNIS, encourager le reportage routinier des cas radar-visuels à une agence centrale, et analyser ces cas en termes d'imagerie radar et des possibilités de réglage spécifique au radar concerné.

Compiler un catalogue historiques de tous les cas physiques et physiologiques avec preuves connues et acquérir systématiquement tous les rapports d'analyse existants. Encourager le reportage courant des cas semblables à une agence centrale. Ceci inclurait les effets électromagnétiques sur des véhicules et les effets sur des humains et les animaux, et les preuves de trace physiques.

Encourager les témoins honorables qui sont disposés à effectuer une déclaration sous serment au sujet de leurs photographies ou films ou vidéos, à employer un processus sélectif pour déterminer quels films ont potentiellement une valeur de preuve, et soumettre les films choisis aux experts en photographie.

Etablir un journal scientifique arbitré qui contiendra des articles rendant compte de des preuves trouvées par les enquêtes de chaque cas, physique et physiologique, et favoriser l'inspection professionnelle complète de toutes les études scientifiques par des pairs.
Pourquoi étudier les OVNIS?

Les avantages pour la société si une véritable étude scientifique des rapports OVNIS était réalisée seraient nombreux. Il ne devrait y avoir aucun stigmate attaché aux scientifiques (ou à la science) du fait d'une recherche à l'esprit ouvert sur ce phénomène très largement rapporté qui concerne profondément autant de gens. De plus, les données OVNIS peuvent être employées pour enseigner des méthodes scientifiques appropriées dans le traitant d'événements mystérieux ou limite. Cette approche a été suggérée par une équipe de scientifiques, d'ingénieurs, et de professeurs. (Christensen et autres, 1989)

Dans des cas innombrables, des êtres humains ont été terriblement effrayés par des rencontres rapprochées menaçante brutales avec des engins fortement lumineux, et leurs vies ont été perturbées. Fréquemment les dommages médicaux ont été causés aux témoins, apparemment dus aux champs d'énergie impliqués. (Niemtzow, 1980) Alors qu'ils ont essayé d'alerter la société quant au phénomène, ils ont été choqués une deuxième fois en étant ridiculisés plutôt que de recevoir une attention respectueuse.

Les réactions humaines au phénomène OVNI doivent également être comprises dans le contexte du scepticisme croissant (confinant parfois à la paranoïa) au sujet des secrets gouvernementaux et de la dissimulation d'informations importantes au public dans une société prétendument démocratique. Une pratique dominante et en grande partie inutile de secret arbitraire a proliféré depuis la deuxième guerre mondiale. Ceci a conduit à étouffer toute discussion ouverte pour beaucoup d'autres sujets ou problèmes potentiellement sérieux (par exemple, les expériences médicales secrètes sur les êtres humains; les ouvriers exposés sans le savoir à des doses dangereuses de substances radioactives ou de produits chimiques cancérigènes).

De même, la science et les médias de nouvelles sont de plus en plus considérés avec soupçon quand ils ridiculisent plutôt qu'étudient. Un programme pour prendre les rapports OVNIS de front et pour ouvrir le sujet à une recherche impartiale pourrait aider à éclaircir les choses et à construire les bases (pas nécessairement en adhérant à des points de vue préconçus) permettant de savoir si les indications sont insignifiante ou sérieuses. Un programme ouvert et objectif qui traite sérieusement des rapports OVNIS pourrait également aider à restaurer la confiance dans nos institutions majeures.

Le financement scientifique, finalement, vient du public. Pourquoi ne pas déterminer d'une manière juste et équitable si le public est disposé à appuyer une recherche sérieuse et objective? Peut-être qu'une bonne manière de commencer serait un scrutin national qui, correctement conçu, pourrait réduire les effets désastreux de la ridiculisation et découvrir ce que les gens voudraient voir effectué au sujet des rapports OVNIS.

Les OVNIS comme machines - comme machine provenant d'une technologie autre - est une hypothèse importante qui pourrait être évaluée. (dans mon évaluation, c'est l'hypothèse le plus susceptible d'être vraiment prouvée.) Mais des hypothèses alternatives pourraient aussi bien être évaluées, de sorte que l'étude considère toutes les possibilités. Les initiatives scientifiques décrites ci-dessus découvriraient sûrement un phénomène normal actuellement non reconnu si cela était la réponse.

Après avoir observé et/ou participé à des tentatives d'étude scientifique des OVNIS, cependant, j'avertirais que le rassemblement systématique et complet de données (courantes et historiques) doit être nécessairement la première étape dans n'importe quelle étude ayant la prétention d'être "scientifique." Très peu de vraies science a été menée concernant les OVNIS en 50 ans. Au lieu de cela, de nombreux articles et études superficielles, peu informées et des spéculations biaisées ont été présentées comme de la "science."

Prenez garde, en particulier, par rapport à tous les arguments de la forme "les OVNIS ne peuvent pas être réels parce que..." Beaucoup de précédents dans l'histoire de la science devraient nous inciter à renoncer à ce type de raisonnement.

REFERENCES ET NOTES:

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* FBI, Special Agent in Charge, Albuquerque, N.M. Memo, Apr. 28, 1964, to Director, FBI.
* FBI, Special Agent in Charge, Albuquerque, N.M. Memo, May 8, 1964 to Director, FBI, with report of same date titled "Unidentified Flying Object, Socorro, New Mexico, April 24, 1964." The report notes that Zamora has been personally known for about 5 years and is "well regarded as a sober, industrious, and conscientious officer and not given to fantasy." The report also confirms the scorched foliage and the imprints, noting that "Each depression seemed to have been made by an object going into the earth at an angle from a center line [and each] pushed some earth to the far side." Holder, Richard T. (Capt., U.S. Army). "UFO Report, 24 April 1964".
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* Zeidman, Jennie. Helicopter-UFO Encounter Over Ohio (Chicago: Center for UFO Studies, 1979).

LECTURES CONSEILLES POUR DES SCIENTIFIQUES - ANNOTEES:

* American Institute of Aeronautics and Astronautics. AIAA UFO Subcommittee, "UFO: An Appraisal of the Problem," in Astronautics and Aeronautics, November 1970, pp. 49-51.
* Christensen, Marge, et al. Using Concepts From UFO Studies to Teach Science and Critical Thinking (Privately published, 1989). [Ms. Christensen is a science teacher. Other contributors included several scientists]
* Clark, Jerome. The UFO Book: Encyclopedia of the Extraterrestrial (Detroit, Mich.: Visible Ink Press, 1998). [A well-researched and highly useful general reference]
* Donderi, Don C. "The Effect of Conscious and Unconscious Attitudes About UFO Evidence on Scientific Acceptance of the Extraterrestrial Hypothesis," in Journal of UFO Studies, Vol. I, No. 1, c. 1979, pp. 35-40. [The author is Professor of Psychology, McGill University, Montreal, Ontario, Canada]
* Gillmor, Daniel S. (ed.) Scientific Study of Unidentified Flying Objects (New York: Bantam Books, 1969). [The final report of the University of Colorado UFO Project, Condon Committee]
* Haines, Richard F. Observing UFOs: An Investigative Handbook (Chicago: Nelson-Hall, 1980). [The author is a NASA research scientist specializing in perceptual psychology.]
* Hall, Richard H. The UFO Evidence (Washington, DC: NICAP, 1964; Barnes & Noble reprint edition, 1997).
* Hill, Paul R. Unconventional Flying Objects: A Scientific Analysis (Charlottesville, VA: Hampton Roads Publishing Co.,1995) [The author was a NASA-Langley aeronautical engineer; this book was published by his widow]
* Hynek, J. Allen. The UFO Experience: A Scientific Inquiry (Chicago: Henry Regnery, 1972). [The author was chairman of the astronomy department, Northwestern University, and a scientific consultant to the U.S. Air Force on UFOs]
* Hynek, J. Allen. The Hynek UFO Report (New York: Dell Publishing Co., 1977).
* Jacobs, David M. The UFO Controversy in America (Indiana University Press, 1975). [PhD thesis; the author is a professor of history at Temple University]
* Kuhn, Thomas S. The Structure of Scientific Revolutions (Chicago: University of Chicago Press, 1970).
* Maccabee, Bruce. "Photometric Properties of an Unidentified Bright Object Seen Off the Coast of New Zealand," in Applied Optics, vol. 18, 1979. [The author is a U.S. Navy scientist specializing in optics and laser physics]
* McCampbell, James M. UFOlogy: New Insights from Science and Common Sense (Belmont, Calif.: Jaymac Co., 1973). [The author is an engineering physicist specializing in nuclear technology; member, American Nuclear Society]
* McDonald, James E. "UFOs: An International Scientific Problem," paper presented to Canadian Aeronautics and Space Institute, Mar. 12, 1968. [The author was a senior physicist and professor of meteorology at the University of Arizona, and a staff member of the Institute for Atmospheric Physics]
* McDonald, James E. "Meteorological Factors in Unidentified Radar Returns," paper presented at the 14th Radar Meteorology Conference, Tucson, Arizona, Nov. 17-20, 1970. (Boston: American Meteorological Society, 1970), pp. 456-463.
* McDonald, James E. "Science in Default: Twenty-Two Years of Inadequate UFO Investigation," in UFOs: A Scientific Debate (Cornell University Press, 1972).
* Niemtzow, Richard C., M.D. "Preliminary Analysis of Medical Injuries as a Result of UFO Close Encounters," in MUFON 1980 UFO Symposium Proceedings (Seguin, Texas: Mutual UFO Network, 1980). [The author is an Air Force flight surgeon specializing in oncology]
* Phillips, Ted. Physical Traces Associated With UFO Sightings (Chicago: Center for UFO Studies, 1975).
* Rodeghier, Mark. UFO Reports Involving Vehicle Interference (Chicago: Center for UFO Studies, 1981). [The author has a PhD in sociology and is scientific director of the Center for UFO Studies]
* Sagan, Carl, and Thornton Page (eds.) UFOs: A Scientific Debate (Cornell University Press, 1972).
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* Saunders, David R., and R. Roger Harkins. UFOs? Yes! Where the Condon Committee Went Wrong (New York: World Publishers, 1969). [The lead author was a professor of psychology, University of Colorado, and a principal investigator on the UFO Project headed by Dr. E.U. Condon]
* Schuessler, John F. UFO-Related Human Physiological Effects (La Porte, TX: Geo Graphics Printing Co., 1996). [The author is a recently retired aerospace engineer, NASA-Houston]
* Strentz, Herbert J. Survey of Press Coverage of Unidentified Flying Objects, 1947-1973. [PhD thesis in journalism; later a professor of journalism]
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* Swords, Michael. "The University of Colorado UFO Project: The `Scientific Study of UFOs'," in Journal of UFO Studies, New Series, Vol. 6, 1995/1996. [The author is a professor of natural sciences at Western Michigan University, with progressive degrees in chemistry, biochemistry, and history of science and technology]
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* Vaughan, Valerie (ed.) UFOs and Science: The Collected Writings of Dr. James E. McDonald (Washington, DC: Fund for UFO Research, 1995).
* Zeller, Edward J. "The Use of Thermoluminescence for the Evaluation of UFO Landing Site Effects," in Proceedings of the 1976 CUFOS.

http://www.ufologie.net/htm/hall01f.htm


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